Dernière heure; pièce en quatre actesIllustrations de Widhopff . LE MONDE ILLUSTRÉ BaRNTER. — Allons, allons. Valbois. no fais pas attention, va :... laisse, va; et toi, Banjar, forme taboîte; il ny a pas à tortiller, ni .lovions rasoir!(Sonnerie de téléphone.) Allô!... Allô!...quy Un inoendie, rue Laffltteî... Bon, Tiens, va voir ça, Banjar, ça te changerales idées !..Valbois. — Et tu nous ficheras la paix ! B UïJ ut. Jy \ ais, \ ais !(Il tort.) Tn GrSOOH, entrouvrani la porte. — Monsieur Tra-mai, il y a une dame uni vous demande dans le hall ! lu \\ial. — Bien !
Dernière heure; pièce en quatre actesIllustrations de Widhopff . LE MONDE ILLUSTRÉ BaRNTER. — Allons, allons. Valbois. no fais pas attention, va :... laisse, va; et toi, Banjar, forme taboîte; il ny a pas à tortiller, ni .lovions rasoir!(Sonnerie de téléphone.) Allô!... Allô!...quy Un inoendie, rue Laffltteî... Bon, Tiens, va voir ça, Banjar, ça te changerales idées !..Valbois. — Et tu nous ficheras la paix ! B UïJ ut. Jy \ ais, \ ais !(Il tort.) Tn GrSOOH, entrouvrani la porte. — Monsieur Tra-mai, il y a une dame uni vous demande dans le hall ! lu \\ial. — Bien ! je sais ce que cest ! Dites queje descends. Luber. — Cest ta femme du monde qui vient tedemander un louis? Framal. — Il vaut mieux le donner que le rece-voir. Luber. — Ça vont dire, ça? Framal. — Ce que tu voudras.(Il sort.) Scène X Les Mêmes, moins FKAMAL, puis PARM1N. Barnier. — Vous ne pouvez donc pas restercinq minutes sans vous dire des rosseries? Cestextraordinaire, ma parole, il ny a pas à tortiller !... Luber. — Mo
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