. Annales de la Société entomologique de Belgique. Insects; Entomology. XXII évidemment dans tout ce qui se dit sur la Doryphora, il y a bien des choses empruntées à des articles composés par des journalistes américains, peu ou point du tout versés dans l'entomologie, mais très experts, comme chacun sait, dans l'art de mystifier leurs lecteurs. M. de Borre fait remarquer que, par le seul fait de la publication de la présente discussion dans nos Comptes-rendus, dont une vingtaine d'exemplaires au moins vont chaque mois aux États-Unis, il est très vraisemblable qu'il nous arrivera aux prochaines


. Annales de la Société entomologique de Belgique. Insects; Entomology. XXII évidemment dans tout ce qui se dit sur la Doryphora, il y a bien des choses empruntées à des articles composés par des journalistes américains, peu ou point du tout versés dans l'entomologie, mais très experts, comme chacun sait, dans l'art de mystifier leurs lecteurs. M. de Borre fait remarquer que, par le seul fait de la publication de la présente discussion dans nos Comptes-rendus, dont une vingtaine d'exemplaires au moins vont chaque mois aux États-Unis, il est très vraisemblable qu'il nous arrivera aux prochaines séances des com- munications de nos confrères d'Amérique sur la Doryphora. La discussion sera continuée dans la séance du 6 mars. M. Lambrichs demande la parole et donne lecture de la note sui- vante : L'exemplaire du Satyriis Semele 9 <iui fut signalé par moi à notre séance du 4 octobre 1873, et que j'ai pris entre Heyst et Knocke le 5 août 1873, se caractérise par l'absence complète sur les ailes des ocelles qui sont en général une particularité de la tribu des Satyrides. Ainsi il n'y existe pas, comme dans le type, les deux ocelles noirs à pupilleblanche, placés aune certaine distance l'un de l'autre, sur la bande des premières ailes. Aux secondes aîles, il ne reste de l'ocelle placé à la base que la pupille blanche, la prunelle noire ayant disparu. La même par- ticularité se reproduit eu dessous des pre- mières aîles. Le pre- mier ocelle vers la partie apicale laisse apparente la pupille blanche, rehaussée d'un léger trait brun peu visible; du second ocelle du type, il n'y a aucune trace. Aux secondes aîles, en dessous, le point vers l'angle anal est complètement annihilé. Cette particularité des ocelles ne s'accusant que par la présence de la pupille blanche, offre une analogie complète avec la variété Cœnonympha Areteoïdes Pologne, que notre savant collègue a publiée dans le n° 1, 2"^ série de nos Comptes-rendus


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