. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . c A lexception de quelques sols, que par une fatalité quiîia et naura jamais dexemple, je risquai à une de ces pe-tites loteries ambulantes , qui ne sont autre chose quunappât offert par le charlatanisme à la médiocrité ambitieuse,que séduit trop souvent le prisme trompeur de lespérance,et qui nouveau papillon , va sy brûler à la chan:delle. LA BON DE Et vous avez encore perdu ? • . T E R N E s E c Au contraire, monsieur, jai gagné. L A B ON D E Ah ! cest fort heureux. ( ^9 ) • TERNESEC Heureux, heureux. I


. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . c A lexception de quelques sols, que par une fatalité quiîia et naura jamais dexemple, je risquai à une de ces pe-tites loteries ambulantes , qui ne sont autre chose quunappât offert par le charlatanisme à la médiocrité ambitieuse,que séduit trop souvent le prisme trompeur de lespérance,et qui nouveau papillon , va sy brûler à la chan:delle. LA BON DE Et vous avez encore perdu ? • . T E R N E s E c Au contraire, monsieur, jai gagné. L A B ON D E Ah ! cest fort heureux. ( ^9 ) • TERNESEC Heureux, heureux. Imaginez-vous quil est écrit que j«serai malheureux jusques dans mon bo,heur, vous savez ouvous ne savez pas que ces petites loteries se composent dedifFérens objets, tels que miroir. LABONDE X Oui, à dé de de d înes de dé mouchettes. T E UNE s EC L A B O N DE TERNESEC LABONDE T E B N E S E C L A B O ]N D E TERNESEC LABONDE TERNESEC L A B O N DE. TERNESEC Bobè Enfin, jétais sur le boulevard du Temple ,lorsque àTaspect dune aiguille quagitaient sur un pivotplusieurs victimes comme moi dune passion funeste , je mesens poussé par une main invisible, je dis invisible, parceque je me suis retourné et que je nai vu personne, etma Air : Vaiid, de la harhe du frère Jean, Je tourne la falale aigtiilîe Et dis eala vo3^ant tourner : Le destin qui toujouis nictnllc , Va-t-il enfin mabandonner? Mais du gujgnon qui maccompagne Voyez le coup inattendu Depuis deux jours jétais tondu, Et cesl^ un peigne ( ter) que je gagne. LABONDE Savez-vous quà votre place , jaurais de la loterie par-dessus la têfe. 3 ^ ( 20 ) T E II ÎJ E S E C Ah! mon dieu ^ cela devrait être, maïs comme dit leproverbe , qui a bu, boira. Mais en parlant de cela ,il mèparait quon ne sort pas souvent de chez vous. ^ L A B O IV X) lî Cest une preuve que Ton s


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