. La librairie, l'édition musicale, la presse, la reliure, l'affiche à l'exposition universelle de 1900. Recueil précédé d'une notice historique par Lucien Layus. ERNERETTE Benierette rejeta son voile en arrière et entonna le refraindune fanfare; mais elle sarrêta tout à coup. La brillante étoilede Vénus, qui scintillait sur la montagne, avait frappé ses yeux;et, comme sous le charme dune pensée plus tendre^ elle chantasur un air allemand les vers suivants ILLUSTRATIONS POUR LES ŒUVRES daLFRED DE M U S S K TParis, Moi-gaïul ( 1S83 ). 4 26 LIBKAIUIE sélevait en 1881 à 2 310 000 francs, et en 18


. La librairie, l'édition musicale, la presse, la reliure, l'affiche à l'exposition universelle de 1900. Recueil précédé d'une notice historique par Lucien Layus. ERNERETTE Benierette rejeta son voile en arrière et entonna le refraindune fanfare; mais elle sarrêta tout à coup. La brillante étoilede Vénus, qui scintillait sur la montagne, avait frappé ses yeux;et, comme sous le charme dune pensée plus tendre^ elle chantasur un air allemand les vers suivants ILLUSTRATIONS POUR LES ŒUVRES daLFRED DE M U S S K TParis, Moi-gaïul ( 1S83 ). 4 26 LIBKAIUIE sélevait en 1881 à 2 310 000 francs, et en 1889, à 7 430 000 francs,est retombée en 1898 à 3 748 936 francs; limportation des livresen langues mortes on étrangères, qui était en 1881 de 2 640 000 francs,eten 1889 de 1 240000 francs, est remontée en 1898à 2 144 922 à létranger de livres en langue française, quisélevait en 1881 à 16 680 000 francs et en 1889 à 13 160 000 francs,est en 1898 de 14 130 670 francs; lexportation de livres en languesmortes ou étrangères se chilfre par 1900 000 francs en 1881,4 530 000 francs en 1889, et 2 790 268 francs en Froutispice réduit du Recueil dts Œuvres de Molière, puljlié par Barbiu, eu 1G7^. Molii>rc y est représenté sous ses costumes de Sganarellu et de Masoarille. MUSIQUE Los premières éditions musicales sont presque contemporaines(le linvention de limprimerie. En France, un psautier avec plain-tliant noté est imprimé à Paris, en 1494, par Gering. Les premierspoinçons pour limpression de la musique sont gravés en 1323 parPierre Hautin, fondeur et imprimeur parisien : la note et la portéesont gravées dune seule pièce. Les impressions en typographie, etun peu plus tard celles en taille-douce, sont employées concurrem-ment jusquà linvenlion de la lithographie. La tj^pographie sesignale par des inconvc-nienls provenant du manque dadhérence dela note avec la portée et des solutions de continuité qui en ré


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