Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales . ation lumineuse persiste avec son inten-sité primitive, après la cessation de rexcitation. Or, M. Charpentier dit dans une note présentée le 25 février : Ainsi donc, la répétition fréquente des mêmes excitations agit en abré-geant la persistance des impressions correspondantes. Je ne puis admettre cette conclusion. Elle est en contradiction absolueavec tout ce que jai observé, etparaît également la négation des assertionspremières du professeur de Nancy. Je serais heureux quil voulût bien nous donner quelques éclaircisse


Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales . ation lumineuse persiste avec son inten-sité primitive, après la cessation de rexcitation. Or, M. Charpentier dit dans une note présentée le 25 février : Ainsi donc, la répétition fréquente des mêmes excitations agit en abré-geant la persistance des impressions correspondantes. Je ne puis admettre cette conclusion. Elle est en contradiction absolueavec tout ce que jai observé, etparaît également la négation des assertionspremières du professeur de Nancy. Je serais heureux quil voulût bien nous donner quelques éclaircisse-ments et son opinion définitive sur cet important sujet. SÉANCE DU 5 MARS 131 Note sir la compression dans le traitement de quelques céphaléesHYSTÉuiQUES, par Cil. FÉRÉ. La douleur est un des symptômes les plus fréquents de lhystérie, etdans quelques cas il devient si exclusif, ou du moins §i prédominant,quon pourrait décrire une forme dhystérie douloureuse. Ces douleurspermanentes ou paroxystiques ne sont pas dailleurs sam relation avec. Compresseur bîtemporal construit par — ère réunissant les deuxressorts à écartement varisble. B. B. Pelotes mobiles sur leur axe et le long duressort C. les manifestations convulsives de la maladie. Elles les précèdent souvent;telles les douleurs ovariennes, telle la céphalée temporale, qui constituentsouvent laura. On sait que la compression des points douloureux ova-riens est souvent capable de suspendre lattaque, sinon de la action spasmo-frénatrice est-elle la conséquence de la modifica-tion de la douleur? Il est difficile de le dire. La compression, on le sait, du reste, a été fréquemment employée contrela douleur. On a eu recours, contre les céphalalgies fébriles (Guyon), etsurtout contre la migraine (de même que contre les convulsions des 132 SOCIÉTÉ DE BIOLOGIE enfants, lépilepsie, léclampsie, etc.), à la compression artérielle quelon a fait po


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