Revue pittoresque : musée littéraire . i?... Montai!...Cétaitatroce ! Montai,. — Moi ? Quelle plaisanterie! LES xMŒURS DHIER. 329 ;e. — Vous nen avez rien su; mais de Surville à lcndroil di-sa nirce, liio ienipècliail cela est ainsi, du moins selon le réeil du pelitSainval : cliercliezlui querelle si vous voulez, jecite mes auleurs A xette proposition de la du-chesse, madame de Surville se dil : — « Je le de-« vine; tu me liais, lu voudrais faire le malheur<i de ma nièce en la mariant a Montai Celait pourH celle seélératesse que lu voulais te rapprocher de« moi, je ne serai pas


Revue pittoresque : musée littéraire . i?... Montai!...Cétaitatroce ! Montai,. — Moi ? Quelle plaisanterie! LES xMŒURS DHIER. 329 ;e. — Vous nen avez rien su; mais de Surville à lcndroil di-sa nirce, liio ienipècliail cela est ainsi, du moins selon le réeil du pelitSainval : cliercliezlui querelle si vous voulez, jecite mes auleurs A xette proposition de la du-chesse, madame de Surville se dil : — « Je le de-« vine; tu me liais, lu voudrais faire le malheur<i de ma nièce en la mariant a Montai Celait pourH celle seélératesse que lu voulais te rapprocher de« moi, je ne serai pas ta dupe. » La duchesse avaitfrappé juste; en éveillant la défiance de madame de songer à se garantir du Préval dont elle voulaitlempèlrer. 1-E —Pcslc ! quciic tacticienueconsouunée ! Le major Bkown. — (Jette fausse attaque est trèshabile. Serpentine. — La duchesse, prenant alors sonair bonne/«mme, se met peu à peu en confianceavecmadame de Surville, et linit par lui avouer sa pas-f. Ebahlssement des débardeurs en voyant arriver ausion pourPréval, le plus charmant, le plus délicat,le plus tendre des amants, ajoutant quelle serait laplus infortunée des femmes sil labandonnait ja-mais. — <i Je le tiens, pensa madame de Surville;lu as voulu me frapper dans ma nièce, moi je tefrapperai dans ton charmant Pré « — Et, lasotte aveugle, de coqueler ouverlement avec ceGoliath! Des Roches. — Ah ! la malheureuse ! Serpentine. — Vous voyez dici la joie de laduchesse; de son côté, elle sétait éludiée à serendre insupportable à Préval. Il sagil de porter bal do lOpéra les convives du Rocher do derniers coups. Un matin, elle arrive chezmadame de Surville, en fondant en larmes, luidisant quelle sest aperçue de son bon vouloirpour Préval, quelle sadresse ;i son cœur, k sagénérosité, car linfidélité de Préval la décide madame de Surville ii luer immédia-tement la duchesse, s


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