Memoires littéraires, contenant des reflexions sur l'origine des nations . .Voicice que Thomas Bartholin écrit à Phi-lip. à Lewenheimb dans uneLettre du 30 Septembre 166 p. » Je» ne doute point que vous nayiez» oui parler du fecret quon a trou-» vé de rétablir toutes les humeurs» de loeil, mais peut-être lignore-» rois-je moi-même, iî le fameux00 Burrhi navoit eu la bonté de mena> informer. On Ta éprouvé fur une» Oye; & quoique la playe fut desr > plus profondes, il na pas laiffé > de réuffir comme on sen étoit > flatté. » On voit par-là quil neiîpoint impoiTible de rétab


Memoires littéraires, contenant des reflexions sur l'origine des nations . .Voicice que Thomas Bartholin écrit à Phi-lip. à Lewenheimb dans uneLettre du 30 Septembre 166 p. » Je» ne doute point que vous nayiez» oui parler du fecret quon a trou-» vé de rétablir toutes les humeurs» de loeil, mais peut-être lignore-» rois-je moi-même, iî le fameux00 Burrhi navoit eu la bonté de mena> informer. On Ta éprouvé fur une» Oye; & quoique la playe fut desr > plus profondes, il na pas laiffé > de réuffir comme on sen étoit > flatté. » On voit par-là quil neiîpoint impoiTible de rétablir lhu-meur cryftalline ; mais je doute | quon puiffe y réunir lorfquelle sellïiij ipS Mémoiresécoulée par accident \ car il ne fau-roit y avoir de playe fans quelqueviolence, & dans ce cas il eft im-poflible que le nerf optique , lesfibres qui en fortent ou les tuniquesqui lenveloppent ne foient offen-fées , ce qui met le malade horsdétat de recouvrer la vue , mêmedans le cas où cette léfion auroitété procurée à deffein,. Littéraires. i$$MANIERE De reméciier aifément & à peu defraix à la Gangrené *par ThomasBartholin J avec des Observationsfur ce fujet J par Philip. Jac. Sachsà Lewcnheimb, IL régna dernièrement dans ce RemèdePays une efpéce de Rougeole fi Pour lamaligne, quune jeune fille qui en &lfut attaquée, en eût le vifage gan-grené & les lèvres prefquentiére-mentemportées; mais je vins heu-reufement à bout dy remédier avecdeleau de Mer dans laquelle ja-vois fait bouillir un peu dAbfinthe,& je me fuis depuis fervi de ce Re-mède avec le même fuccès. Il neft perfonne qui ignore la Obferv*-variété infinie des Remèdes fim- nonspies ; la Grèce avoit les liens , & laMauritanie nen fournifToit pas unemoindre quantité : mais, commeliv 20Q Mémoires dit Rornbœus ( a ) , nous en avonsplufîeurs qui étoient tout-à-fait mé-connus aux Anciens , & Ton nefçauroit croire combien nous entirons des Indes & des Mes qu


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