. Considérations générales sur la famille des Galathéides. Galatheidae. 208 MIIilVE-EDVirARDIS et BOUVIER. leur nom de lobes branchiaux antérieurs ; mais ils ont en même temps des rapports étroits avec la musculature du corps, et présentent en cela des analogies assez frappantes avec les aires gastriques et hépatiques. Les deux lignes qui séparent, de chaque côté, les régions branchiales de l'aire cardiaque, présentent leur maximum de netteté chez les .Egléinés(t"ig. 10, p. 206), où elles encadrent le polygone allongé qui constitue l'aire cardiaque propre- ment dite (C) ; les régio


. Considérations générales sur la famille des Galathéides. Galatheidae. 208 MIIilVE-EDVirARDIS et BOUVIER. leur nom de lobes branchiaux antérieurs ; mais ils ont en même temps des rapports étroits avec la musculature du corps, et présentent en cela des analogies assez frappantes avec les aires gastriques et hépatiques. Les deux lignes qui séparent, de chaque côté, les régions branchiales de l'aire cardiaque, présentent leur maximum de netteté chez les .Egléinés(t"ig. 10, p. 206), où elles encadrent le polygone allongé qui constitue l'aire cardiaque propre- ment dite (C) ; les régions branchiales (B) sont en outre par- courues, dans la même sous-famille, par une ligne transver- sale supplémentaire qui présente des analogies éloignées avec les lignes branchiales réticulées des Paguriens. Chez les Diptycinés (fig. 11, p. 207), les deux lignes branchio-car- diaques sont nettes, quoique très peu profondes, souvent elles se rapprochent beaucoup et parfois même se touchent presque vers le milieu de l'aire cardiaque, qu'on trouve par le fait divisée en deux par- ties par un étranglement, comme on l'observe aussi dans de nombreux Paguriens. Chez les Galathéinés les lignes branchio-cardiaques sont vague- ment indiquées, et paraissent se ren- contrer sur la ligne médiane, en avant du bord postérieur, puisque l'aire cardiaque se termine en pointe en avant de ce bord. Chez toutes les espèces de ce groupe, l'aire cardiaque s'élargit beaucoup en avant; chez les Munides et la plupart des espèces aveugles, elle se creuse, en arrière de la région gas- trique, d'une profonde échancrure transversale (fig. 12, Orophori/nrhus l'ividus). Dans YOrophorhynchus Parfaiti, les parties comprises entre cette dépression et les lobes bran- chiaux antérieurs sont séparées des parties voisines par des sillons et forment une paire de lobes distincts, qu'on pourrait appeler lobes branchiaux internes (K, fig. 13), parce qu'ils. Fig. Please


Size: 1208px × 2069px
Photo credit: © The Book Worm / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookauthormilneedw, bookcentury1800, bookdecade1890, bookyear1894