La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . ^eî Figures du même Ouvrage. ^-^ySANE PERVERTIE. Je n ai plus de force & je n-ç fais fi // ah I // éfiguré , brûlé, Je nai quun ipfiant à vivre ma poitrine fcni- pî je vomis le fang à & cçpapier cn-eft-fouill , (Urfule mourante, était jî~occupée de mapauvreFemme, quelle voulait lui écrire des choses€onfolantesy à ce que m^ont-ditles Perjonespré»sentes à la m
La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . ^eî Figures du même Ouvrage. ^-^ySANE PERVERTIE. Je n ai plus de force & je n-ç fais fi // ah I // éfiguré , brûlé, Je nai quun ipfiant à vivre ma poitrine fcni- pî je vomis le fang à & cçpapier cn-eft-fouill , (Urfule mourante, était jî~occupée de mapauvreFemme, quelle voulait lui écrire des choses€onfolantesy à ce que m^ont-ditles Perjonespré»sentes à la mort, mais elle nen-eut ni lé temps ^ni la force. Elle avait\à-côtt delle Marianne-Fréiiii, fa Femme^de-chambre , à qui elle remit :fa Lettre pleine de fang , comptant y pouvoirsajouter un mot ; mais Ufang fortant à-gros^»bouillons , elle perdit toute connaijjance, avan$ îVarrivéç des Chirurgiens, quon afait-coumtcliercher, 3a pénitence a-été fî-belle & fi-grande,,que jai la confiance que Dieu lui a-patdonnéJNous veuille -t-il pardonner auflî nos offenfes 1comme nous pardonnons à Qui nous a-offenfé,. Yjjjme Partie. 2,^5 c L X VI I /.^^ 3j;6t^ F A N C H O N , à E D M É E. [ Comment a-étc-poignardée Urfule, & confo-lant Récit de fes bonnes-oeuvres, avecfes Letjresfecrettes. 3 v^ ma chère Sœur, ouvre- moî unasile dans tes brasî je fuis - environnéedhorreurs & defFroi ! Mon Mari, fi-^raisonnable, ii-pieus, {i-feiifible, ftiarchefombre , morne; il ne fait pas attention àmoi (cell la feconde-fois que çalui ar«rive ; & ceft -la marque à^s grands mal-heurs !...) depuisune fatale Lettre quila-reçue (i). Ah ! jen-ai-reçu enfiiiteune plus-fatale ! elle me montre Urfulemourante , expirante, rendant le fang à-flots I,.. Je la vois ; je vois Ton fang ; (aLettre cn-eft prefquefFacée, & à-peine lapuis-je lire !... 0 Dieu ! vous ne voulezpas que nous ayions même la confo- (i)Dans la ccxxii/»^ du Paysan , p. 67 ^ , y 3 2
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