Le Parnasse breton contemporain, publié par Louis Tiercelin & Ropartz . on trône est entouré de nuages dencens, Comme le soleil à possède, en lhonneur de sa divinité,Un temple étincelant dor et dargent sculpté. Où sa royale cour ladore. » Au cortège princier Jésus cédant le pasQuitta le grand chejnin, car Ilérode Antipas Venait sous lombre des é lhumble charpentier dit, en quittant ce lieu :« Roi, règne sur les grands : moi, je serai le Dieu Des pauvies et des misérables. » MATIN Lîle de ?Soirmoutier, comme une sombre Pornic, au levant, ferme limmense


Le Parnasse breton contemporain, publié par Louis Tiercelin & Ropartz . on trône est entouré de nuages dencens, Comme le soleil à possède, en lhonneur de sa divinité,Un temple étincelant dor et dargent sculpté. Où sa royale cour ladore. » Au cortège princier Jésus cédant le pasQuitta le grand chejnin, car Ilérode Antipas Venait sous lombre des é lhumble charpentier dit, en quittant ce lieu :« Roi, règne sur les grands : moi, je serai le Dieu Des pauvies et des misérables. » MATIN Lîle de ?Soirmoutier, comme une sombre Pornic, au levant, ferme limmense gai soleil davril se lè A liiorizou,Les phares, les rochers de lIle, noir buisson,Découpent leurs profils aigus comme des barque dun pécheur, avec ses ailes blanches,Vole en rasant les ilôts quargentent des reflets :Et le matelot jette en chantant ses fdets,Pendant que, sur sa tète, éclatant de lumiè soleil rajeuni commence sa carrière,Et, sondeur de lespace et des créations,Plonge, au sein de lazur, ses filets de rayons. n. JEAN LE FUSTEC is (fragment) Sur la lande, le lendemain de rengloulissement de la ville. LE LEPREUX D IS AUX BERGERS APPROCHEZ : il est temps que toute oreille é une chose horrible à ce point, que je douteSi jai rêvé ce que je dis. .Non!.., La lune g-laçait leau de sa clarté bien vu ; mais je vais terrifier le monde :Is, .. est morte !. . la ville dis !!I Is est morte, vous dis-je !. . Is, la ville ééan a jeté son suaire sur elle ; Et la terre tremblait au nétait rien de plus quun trésor quon dé la prit, je lai vu, dans les plis de sa robe, Comme un voleur pendant la nuit I JEAN LE FUSTEC. 141 Morte !... Cest bien fini!... Gardez vos cris de sainte vérité ma conduit sous le chêne Dire ce désastre cité dont je parle est tombée en ruines ;Is que Ton se montrait des lointaines collines ; Is quon nommait en souriant ! Le


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