. Actes de la Société linnéenne de Bordeaux. Science; Natural history. — 282 périphérie, puis se recourbe bientôt presque à angle droit pour atteindre le péritrême qu'il aborde à peu près orthogo- nalement, sauf un crochet de raccordement peu profond (Fig. 59) ; la surface de la lamelle porte des stries irrégulières marquant les arrêts d'accroissement du bord libre; elle est, à part cela, lisse et brillante comme le reste de l'intérieur de la coquille. Péritrême mince, légèrement festonné chez les spéci- mens costulés. DiM. Hauteur : 13 mill. ; diamètre : 33 FiG. 59. Lame du plafond de
. Actes de la Société linnéenne de Bordeaux. Science; Natural history. — 282 périphérie, puis se recourbe bientôt presque à angle droit pour atteindre le péritrême qu'il aborde à peu près orthogo- nalement, sauf un crochet de raccordement peu profond (Fig. 59) ; la surface de la lamelle porte des stries irrégulières marquant les arrêts d'accroissement du bord libre; elle est, à part cela, lisse et brillante comme le reste de l'intérieur de la coquille. Péritrême mince, légèrement festonné chez les spéci- mens costulés. DiM. Hauteur : 13 mill. ; diamètre : 33 FiG. 59. Lame du plafond de C. costaria Grat. ; Mioc. R. D. — Cette espèce se distingue aisément de C. ornata par sa l'orme beaucoup plus haute, plus irrégulière, par ses premiers tours plus convexes, parfois gibbeux, par son ornementation, par son péritrême plus régulièrement circulaire, enfin par la moindre étendue de sa lamelle interne, diminuée par la forte arquature de son bord libre. Cette espèce, de même que C. ornata, a été rapprochée de C. aperta Sol. (= C. trochiformis Lk.). Deshayes, en particulier (Encycl., p. 172), assimile certains spécimens à la var. C qu'il avait créée pour une forme « à test rugueux, à épines courtes et rares, disposées par rangées obliques, et en spirale », mais en faisant toutefois remarquer que les spécimens de Dax sont plus déprimés et à spire plus excentrique que ceux de Paris. Les deux espèces sont en réalité profondé- ment différentes et n'ont de commun qu'un galbe parfois assez semblable dû en partie à des conditions identiques d'habitat. C. costaria est beaucoup plus grande que C aperta, les vermiculations qui constituent le fond de rornementation de sa surface sont beaucoup plus marquées, ses squames sont plus fortes, plus nombreuses, plus régulièrement disposées, et enfin le bord libre de son septum, très arqué, diffère complètement du bord libre de celui de l'espèce éocénique qui est p
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