Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . Vous navez pas le courage de vos opi-nions, que voulez-vous que je vous dise!Car enfin vous ne sautez pas denthou-siasme. Il y a mieux. Vous ne trouvezmême pas un mot pour me féliciter, pourmencourager. Allons, soyez franc: vousme blâmez ? — Léon éclata. Dupé, déçu, il était sou-levé dune colère douloureuse: — Ah! vous êtes bien tous les mêmes!Incapables de mettre daccord vos acteset vos paroles. Toujours la même his-toire. Des mots, des mots, que contredi-sent les actions. Ce sont des célibatairesqui prêchent la repopulation. Nos grandspat


Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . Vous navez pas le courage de vos opi-nions, que voulez-vous que je vous dise!Car enfin vous ne sautez pas denthou-siasme. Il y a mieux. Vous ne trouvezmême pas un mot pour me féliciter, pourmencourager. Allons, soyez franc: vousme blâmez ? — Léon éclata. Dupé, déçu, il était sou-levé dune colère douloureuse: — Ah! vous êtes bien tous les mêmes!Incapables de mettre daccord vos acteset vos paroles. Toujours la même his-toire. Des mots, des mots, que contredi-sent les actions. Ce sont des célibatairesqui prêchent la repopulation. Nos grandspatriotes nont jamais été soldats. Et lessocialistes au pouvoir sont de petits po-tentats. Tant quil sagit de pérorer, vousêtes 1 jrts. Quand il faut payer dexemple,plus personne. Vous faites des effets detribune: « Allons au peuple! » Et quandquelquun près de vous se lève, vous jr,/:-:.. BERTHE GRINyA DES DENTS, HORS DELLE-MÊME M I/.7 \.i hi: DEMAIN pr< iil .m m<»t ri dé lar< Ioui .ni peuple, • outenea dk aloi ouleui r vo fondei vo ilei el lon na j irai quune flaqu< \ i e m i m Bei ii i» irai a la poi — Le th i h \01 quelle tombait dans une ussion. — Qu quil \Charl< tpliqueri i t i ...m isa dans la salle à la nappe à thé, couverte dBiettea de gâteaux et vivement é< lairée,toute la pièce restait dans lombre. Carun pare \ ue de Boie \ erte habillait < has-tement la suspension. Des convives, onne voyait que les Cétait rentra. Derrière elle, Charles mur-murait dune voix ennuyée: — Je ten prie, pas répliqua aigrement: — Laisse donc. Je napprendrai rienà personne. Nous seuls nétions pas aucourant. Elle Charles avait parlé. Léon,qui sétait assis et se servait du thé, setourna vers elle. Allons, cétait la der-nière bordée. Mais elle serait rude.


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