Archive image from page 202 of Des mécanismes respiratoires chez les. Des mÃcanismes respiratoires chez les CrustacÃs DÃcapodes; essai de physiologie Ãvolutive, Ãthnologique et phylogÃnique . desmcanismesre00bohn Year: 1901 SUR LA RKSPIHArK)N liKS DKCAl'ODES. 193 Vers la base, la ligne le est marquÃe par des Ãpaississements du bord des lamelles en l'orme de tubercules ronds. Sur la face externe, dans toute la longueur, on observe des tuJjercules, inconstants el disposÃs irrÃgulièrement et avec pt)inle dirigÃe vers la base ; on constate facilement que tous ces ornetnents s'acqicièreid pror/i
Archive image from page 202 of Des mécanismes respiratoires chez les. Des mÃcanismes respiratoires chez les CrustacÃs DÃcapodes; essai de physiologie Ãvolutive, Ãthnologique et phylogÃnique . desmcanismesre00bohn Year: 1901 SUR LA RKSPIHArK)N liKS DKCAl'ODES. 193 Vers la base, la ligne le est marquÃe par des Ãpaississements du bord des lamelles en l'orme de tubercules ronds. Sur la face externe, dans toute la longueur, on observe des tuJjercules, inconstants el disposÃs irrÃgulièrement et avec pt)inle dirigÃe vers la base ; on constate facilement que tous ces ornetnents s'acqicièreid pror/iTSsivciJient avec l'âge. 4° Hyas araneits L. â Ici le vaisseau interne prÃsente des Ãpines assez bien dÃveloppÃes ; l'ornemen- tation de toutes les lamelles rappelle celle des lamelles de la base chez les Pisa ; seulement les pointes mÃdianes ont des formes variÃes (aviculaires), comme d'ailleurs les tubercules des lignes latÃrales le. 5' Maia squlnado Herbst. â C'est chez le Maia que l'ornementa- tion externe atteint son maximum de complication (fig. 77). Les lignes //⢠sont marquÃes par des Ãpais- sissements du bord des lamelles. Le vaisseau interne prÃsente deux rangÃes de poils - crochets et le vaisseau externe une rangÃe (fait exceptionnel). D'une manière gÃnÃ- rale toute la face externe de la branchic est hÃrissÃe de saillies chitineuses, qui lui donnent un aspect tout à fait particulier, et qui sont dues vraisemblablement aux frottements des branchies contre le revêtement chitineux interne du branchiostÃgite, lui-même tout couvert de poils chitineux, couris, simples et barbelÃs. Le Homard olîre, comme nous l'avons vu, une disposition analogue; il est curieux de rencontrer chez des espèces si ÃloignÃes des formations similaires ; celles-ci sont peut-être dues à une con- vergence pliyslologlque occasionnÃe par le genre de vie commun de ces deux animaux. Quoi qu'il en soit les Oxyrhynques montrent nettement
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