Œuvres diverses de M L de Chaulieu . ir les forces dHercule ;Sil nimite en vertu le père dune mule , Il pourra bien chanter en vain. ie de Chaulietê. 187 Le Comce de Fiefque feul ne fut pointétonne de cet oracle î & excité par les char-mes d*unc troupe de Nimphcs , qui en at-tendoicnt Texecution , il crut que cette cn-treprife lui étoit réfervée s & rempli deconfiance , senfonça dans le bofquet voifin. Mais nous le vîmes , je vous fanglanc, & battu ,Sans avoir , dans cette avanture ,Pu cogner fon pauvre fécu. Ce traitement nous fait défefperer du ré-itablifTeiTient du Château
Œuvres diverses de M L de Chaulieu . ir les forces dHercule ;Sil nimite en vertu le père dune mule , Il pourra bien chanter en vain. ie de Chaulietê. 187 Le Comce de Fiefque feul ne fut pointétonne de cet oracle î & excité par les char-mes d*unc troupe de Nimphcs , qui en at-tendoicnt Texecution , il crut que cette cn-treprife lui étoit réfervée s & rempli deconfiance , senfonça dans le bofquet voifin. Mais nous le vîmes , je vous fanglanc, & battu ,Sans avoir , dans cette avanture ,Pu cogner fon pauvre fécu. Ce traitement nous fait défefperer du ré-itablifTeiTient du Château s fi les difficultésne vous rebuttent point^venez vouseffaïeriilfe fera peut être un miracle en votre faveur,plus grand que tous ceux que vous nous avezannoncez. Ne fouhaîtez donc plus le fens- froid de XatntraîllciNi refprit de TAbbé Teftu ,Gardez votre ventre pointu j 288 OEuvres dlverfes Sans porter envie à fa taille ; Pour les éforts quici vous avez à tenter»Leur force eft feule à LA dt M. L. àe chiuUeu^ 4f j> LA PERFECTION DAMOUR, A, S. MONSEIGNEURLEDUC. VJ Rand Prince, mais plus aîmablci Cent fois par vos qualités, Quilluftre, que rerpe6lable j Par le fang dont vous fortez « Je vous âdreflc une fable > Qiii fous un tour agréable , Cache des moralités Importantes, néceffaîres, Et découvre des miftéres , Qui feuls, par leurs véricéâ Répareront Tinjuttice Des brocards que jai foufferts % Dont lenvie & la malice Orne vos cauftiqucs Vers. Peu de tems après que Venus fut fortiô (2$x> OBnvres diverfes de londe, & quelle eut établi fa demeuredansCythérc, on découvrit deux grande^Ifles, qui nétoient éloignées de là que dequelques milles. La première, qui étoit au Midi, avoirtous les avantages quun païs peut recevoirdes mains de h Nature, & des regards fa-vorables du Soleil y le climat enécoitdoux,on y refpiroit un air pur , des tuiffeaux ar-gentés couloient dans les vallons, les coli*nés étoie
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