Revue de l'art chrétien . dans les vitrines des Gobelins, ne permet pasdailleurs un instant de doute. Quant au vœuque forme M. B. en terminant son chapitre sur 156 5Rcbur lie r^rt tf)rctten» les tapisseries égyptiennes, de voir mettre au jour« lEgypte des tombeaux », M. Maspero est làpour réaliser nos espérances. Je partage absolument parfaite-ment motivé, de M. B. sur le Clavus vraimentsi curieux, reproduit PI. XIV. Est-ce une tapis-serie gauloise, lombarde, mérovingienne ? toutesles suppositions sont permises, sauf celle dedouter de son origine occidentale. Il faut, peut- êtr


Revue de l'art chrétien . dans les vitrines des Gobelins, ne permet pasdailleurs un instant de doute. Quant au vœuque forme M. B. en terminant son chapitre sur 156 5Rcbur lie r^rt tf)rctten» les tapisseries égyptiennes, de voir mettre au jour« lEgypte des tombeaux », M. Maspero est làpour réaliser nos espérances. Je partage absolument parfaite-ment motivé, de M. B. sur le Clavus vraimentsi curieux, reproduit PI. XIV. Est-ce une tapis-serie gauloise, lombarde, mérovingienne ? toutesles suppositions sont permises, sauf celle dedouter de son origine occidentale. Il faut, peut- être, la rapprocher du Cavalier à clteval, en os,trouvé à Amiens, dont M. A. Maignan a donnéla description et la représentation dans la Revuearchéologique (). Sont-ils très éloignés lun delautre ? Or les ornements, beaucoup plus visiblessur le cavalier en os, permettraient de le rappro-cher du Vl-VIIe siècle. En avançant dans le Moyen Age, nous trouvonsici des suaires à peu près ignorés, orientaux et. Étoffe de Mozac, occidentaux, détoffes les plus intéressantes pourles études médiévales. Maintenant aux suairesdArles, de Sens, dAix-la-Chapelle, il faudrajoindre la belle étoffe de Mozac, que nous repro-duisons ici, le suaire de sainte Richarde et dau-tres enfin dont malheureusement, je le répète, laprovenance, quoique connue de rauteur,est beau-coup trop vaguement indiquée. Deux pages sur les étoffes imprimées termi-nent le volume. M. B. se demande de quels pro- cédés usaient les anciens. Mon Dieu, lhumaniténe marche pas si vite, quen beaucoup de cas,pour savoir comment travaillaient les anciens, ilfaille chercher bien loin. A lexposition de 1879,M. B. na-t-il donc pas vu des Javanais teindre àla pipette, leurs toiles à main levée, traçant avecune invraisemblable fermeté les dessins les pluscomplexes ? Quant aux échantillons quil nousmontre, ils sont certainement imprimés xylo- I. 1897, t. II, p. ii.(. Btbliograpl)ît. 157 graphiqueme


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