. Dictionnaire de physiologie. Physiology. ÃPILEPSIE CORTICALE. 493 La dilatation épileptique de l'orifice pupillaire fait partie d'un ensemble de troubles oculaires auxquels préside le sympathique : elle marche de pair avec la projection du globe oculaire et l'écartement des paupières. Le grand sympathique innerve en effet les fibres irido-dilatatrices, la portion musculaire de la capsule de Tenon et les fibres lisses élévatrices de la paupière supérieure. Les phe'nomènes en question correspondent donc. FiG. 224. â Relevé des rapports entre les changements de la fréquence du cÅur (


. Dictionnaire de physiologie. Physiology. ÃPILEPSIE CORTICALE. 493 La dilatation épileptique de l'orifice pupillaire fait partie d'un ensemble de troubles oculaires auxquels préside le sympathique : elle marche de pair avec la projection du globe oculaire et l'écartement des paupières. Le grand sympathique innerve en effet les fibres irido-dilatatrices, la portion musculaire de la capsule de Tenon et les fibres lisses élévatrices de la paupière supérieure. Les phe'nomènes en question correspondent donc. FiG. 224. â Relevé des rapports entre les changements de la fréquence du cÅur (CÅ.), les variations de la pression artérielle (/*/â .), les changements de diamètre de la pupille iPup.) et les phases tonique et clo- nique d'un accès épileptiformc limité à un membre conservé comme témoin chez un chien curarisé. â On voit que la dilatation pupillaire arrive à son maximum dès le début de l'accès (M) provoqué par l'excitation corticale (EE) ; elle reste à ce degré pendant la plus grande partie de l'attaque et ne commence à décroître qu'au moment oi!i s'accentue la dissociation des secousses. Pendant toute la durée de la dilatation pupil- laire, le cÅur s'est modifié en se ralentissant d'abord (phase tonique), en s'accélérant ensuite (phase clo- nique); il a commencé à devenir moins fréquent, alors que la dilatation pupillaire persistait encore : donc il n'y a pas de rapports entre les deux effets cardiaque et pupillaire. â Il n'en existe pas davantage entre les variations de la pression indiquant l'état des vaisseaux et les modifications de la pupille. Celle-ci avait atteint son maximum avant que la pression ne s'élevât : elle est restée au même degré pendant que les vaisseaux se relâchaient. à l'état d'excitation du sympathique. Ils cessent de se produire si l'on vient à sectionner le cordon sympathique. Dans tout accès épileptique


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