. Lettres à Julie sur l'ornithologie . tarses de la Gigogne, il joint le bec de lAigle. Ilrend de si grands services aux habitants du Gap des Tempêtes.(|uon ne peut tuer un de ces animaux sans encourir une très-forteamende. Get Oiseau lait uniquement la chasse aux Serpents, et ne craintpas dattaquer ceux dont le venin est le plus atroce. Les doigtscourts et ro1)ustes qui terminent ses tarses élevés sont de véritablesassommoirs. Il se sert de ces instrmnents redoutables [)0ur Ijriserlépine dorsale des Reptiles, puis il écrase leur tête sous son l:)ec etles avale. Ce Rapace à (iui la nature^ A d


. Lettres à Julie sur l'ornithologie . tarses de la Gigogne, il joint le bec de lAigle. Ilrend de si grands services aux habitants du Gap des Tempêtes.(|uon ne peut tuer un de ces animaux sans encourir une très-forteamende. Get Oiseau lait uniquement la chasse aux Serpents, et ne craintpas dattaquer ceux dont le venin est le plus atroce. Les doigtscourts et ro1)ustes qui terminent ses tarses élevés sont de véritablesassommoirs. Il se sert de ces instrmnents redoutables [)0ur Ijriserlépine dorsale des Reptiles, puis il écrase leur tête sous son l:)ec etles avale. Ce Rapace à (iui la nature^ A donné de semblables goûts. Qui clioisit pour sa nourriture Ces Reptiles dont la morsnre Serait dangereuse pour nous, Doit nous porter à bénir tou> Cette divine Intelligence Qui créa pour notre défense ^ . Ce Messager, dont lexistence Rend des services si nombreux. Comme les pauvres malheureux Dont vous êtes la providence Doivent rendre grâce ù, leur tour, A la souveraine Puissance De vous avoir donné le jour. ^s^. £ Trâviés- del eiJith. Inw Zemercier eiC^^Tarn LE GRAND DUC LES G H 0 U E T T E S LETTRE XI LES G H G T E T T E S — Hibous, Effraies, Ducs, Scops, etc.— Je nrétais laissronienade à tra-vers les champs. Les ombres avaient couvert la terre de leurvoile vaporeux; le ciel, complètement dépouillé de nuages, mon-trait dans toute sa magnificence la voûte étoilée du firmament ;lair était tiède et embaumé de senteurs ; jamais mois de mainavait olïert une nuit plus belle. Je métais assis sur la lisièredun bouquet de bois, et bientôt ]non esprit sétait laissé allerà la rêverie. Qui ne songe en veillant? dit le bon La sabandonne alors sans pein(>Aux charmes dune aimable erreur, Rapaces nocturnes. Yeuj: dirigés eu avant: Piqiillc grande. .-Ijïtigarnies enilessous de plumes duveteuses, seule famille : les Chouettes. 7(3 LETTRES A JULIE Et tandis quelle nous i)romènoDans les régions du bonheur,Son illu


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