. Études de phonétique espagnole . Fig. 50. On a identifié la prononciation des sons écrits par b eti . Considérons-le un peu. A linitiale, v ne présente pasla même qualité occlusive que b. Sur 29 cas, il y a 13. exemples dune occlusion ferme et dune explosion marquée(fig. 31), et II exemples dune prononciation fricative (fig. I. Araujo, op. cit., p. 39. — 40 — 3o), les autres 5 sont du type des figures 23 et 24. Ainsiil y a 18 occlusives pour 11 fricatives. Elles sont ainsidistribuées : A, 6 occlusives, i fricative ; B, 1 occlusive (dutype de la fig. 24), 5 fricatives (cf. fig. 96) ; C, 4 occ
. Études de phonétique espagnole . Fig. 50. On a identifié la prononciation des sons écrits par b eti . Considérons-le un peu. A linitiale, v ne présente pasla même qualité occlusive que b. Sur 29 cas, il y a 13. exemples dune occlusion ferme et dune explosion marquée(fig. 31), et II exemples dune prononciation fricative (fig. I. Araujo, op. cit., p. 39. — 40 — 3o), les autres 5 sont du type des figures 23 et 24. Ainsiil y a 18 occlusives pour 11 fricatives. Elles sont ainsidistribuées : A, 6 occlusives, i fricative ; B, 1 occlusive (dutype de la fig. 24), 5 fricatives (cf. fig. 96) ; C, 4 occlu-sives, 2 fricatives ; D, 3 occlusives (2 du type de fig. 24),I fricative ; E, 3 occlusives, 2 fricatives ; F, i comparant ces chiffres avec ceux que jai donnés pourb, il est clair que lidentification nest pas tout à fait com-plète. La prononciation de B (madrilène) le montre trèsbien. Il a prononcé v initial comme fricatif 5 fois sur 6,tandis quil a prononcé h occlusif 13 fois sur 15. Et dansle cas où il a prononcé une occlusive, locclusion étaitfort courte et lexplosion bien faible. En tout, jai fait ins-crire V initial 29 fois : il a été 18 fois occlusif, i r fois frica
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