. La centenaire de Molière; comédie en un acte, en vers et en prose, suivie d'un Divertissement relatif à l'apothéose de Molière. R I S S O T I N. Jé TARTUFFE. Je dirai. .. T R I S S O T I N. Vous apprendrez, ma H A L 1 E. Tout beau, Meflfieurs ; vous manquez de refped t( Montrant fon ma/que. )Sous ces traits connoiflez R I S S O T I N. O Ciel ! TARTUFFE. Je fuis perdu ! M. J O U R D A I N. Je la trouve jolie. Malgré fon petit air tant foit peu goguenard > Et ces 3eux éveillés minfpirent pour ma part Certain defîr de faire une folie. SOSIE. Votre Marquife fi jolie
. La centenaire de Molière; comédie en un acte, en vers et en prose, suivie d'un Divertissement relatif à l'apothéose de Molière. R I S S O T I N. Jé TARTUFFE. Je dirai. .. T R I S S O T I N. Vous apprendrez, ma H A L 1 E. Tout beau, Meflfieurs ; vous manquez de refped t( Montrant fon ma/que. )Sous ces traits connoiflez R I S S O T I N. O Ciel ! TARTUFFE. Je fuis perdu ! M. J O U R D A I N. Je la trouve jolie. Malgré fon petit air tant foit peu goguenard > Et ces 3eux éveillés minfpirent pour ma part Certain defîr de faire une folie. SOSIE. Votre Marquife fi jolie ,Convenez-en , Monfieur Jourdain ,Navoit pas ce regard malin jNi cette mine réjouie. M. JOURDAIN. Non , fans doute j enfin Ton fait l>ien D irj 54 LA CENTENAIRE, Quune mortelle, ce neft rieni\uprcs de la moindre Déefle ,Fût-elle même & Marquife & PrinccfTe. M O M U S. Jourdain! ceft parler tout au mieux >Je ne répondrois pas quun jour au rang des DionxAvec éclat on ne vous vît paroître. M. ! cela fe pourroit ? M O M U S. Vous en êtes le maître iIl ne faut C O M É D I E. 55 ^-,^««^_—j»^ ,ii^ ^flf^ -j?i**a Jt^^^ •Xi*^- 5), SCENE XXIII. L E LIE, cC Ips AclcLirs précédens. L E L I E , accourant. ^^RAiGNEz tous le Do,5leurj-II îxeft pas Médecin, ce neft quun impolleur :Je le fais par la voix commune. SOSIE. ( A Lclie. )Pefte de létourdi ! Monfieur, dun tour de main ,Par votre préfence faites perdre au bon Monfieur JourdainLa plus éclatante fortune. L É L I E. Jen fuis défefpéré, dhonneur >Car je nai pas cette baffe manieDe nuire avec gaieté de cœ jai fait une étourderie. T H A L I E. Vous le ( A tous les )Rendez grâce aux bienfaitsQue répandit fur vous un immortel génie ,En vous peignant de ces grands traits 5^ LA CENTENAIRE, Que les fureurs du Temps, ni celles de TEnvleNe pourront effacer jamais. M O M U S. Vous lentendez : contre le czraCtcxt Ivies
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