Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . s, des ten-dances, des haines qui divifaient lesdiverfes claffes. Par la forme Sz. parles réflexions qui laccompagnent,elle révèle un des auteurs anonymesdes Epiflolœ oifcurorum virorum ,elle femble empruntée aux Pamphetsque Hutten dirigeait alors contre leclergé ; dans un livre comme celui-ciil trouvait même occafion de conti-nuer fes attaques. Gentilhomme, il avait la fierté,les préjugés de f


Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . s, des ten-dances, des haines qui divifaient lesdiverfes claffes. Par la forme Sz. parles réflexions qui laccompagnent,elle révèle un des auteurs anonymesdes Epiflolœ oifcurorum virorum ,elle femble empruntée aux Pamphetsque Hutten dirigeait alors contre leclergé ; dans un livre comme celui-ciil trouvait même occafion de conti-nuer fes attaques. Gentilhomme, il avait la fierté,les préjugés de fa cafte, le méprisle plus marqué pour les droits desautres. Une partie de la nobleffe, delariftocratie, jaloufe de fes préroga-tives féodales, était en lutte ouverteavec lEglife qui, attachée à lempe-reur, faifait caufe commune avec lui,laidait à détruire lindépendance desfeigneurs & les privilèges quils sarro-geaient avec une audace antagonifme, cette lutte pouf-fèrent un très-grand nombre de noblesallemands & de payfans à fe rangerdu côté de la réforme. CHAPITRE XVIIL Ve la pojjlhiliîé de réfifier à la faim duraiir letrairemem par le E NDANT la médication, diminuer laquantité ordinaire de nourriture el1:non-feulement une chofe polTible^mais facile à caufe de la vertu duGayaCj qui a la puiifance de foutenirôc de conferver la vie dans un corps exténué, lors mêmeque le malade efh allreint à la diète; il efl dorlc utile, ainfique je lai dit^ dimpofer cette privation. Si la faiblefleefl: excefîlve, il faut relever les forces, non pas en donnantbeaucoup à manger, mais en faifant refpirer des odeursaromatiques, & particulièrement la vapeur qui fe dégage 126 CHAPITRE XVIII. du pain chaud (i). Si la défaillance efl complète (jene fais pas jufquà quel point cet accident efl à redouter,nayant jamais eu occafion de le voir), on fuivra le con-feil de Pline (2), on calmera la faim & la foif par Tufagedu beurre &


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