. Le Monde moderne. e-Segolène IIdIfuI, (inirnt (oii|«urs plus lointaines lui jours Iftujoiirs pins rouris de mon borizon Leur ( naïade de bronze qui versait de son urnel!ne barre dargent tlair à la Hsque deLa inotaine. musique du norlume étoile(lue dit le tiel qui veille à la rose endormie!Il souvenirs dorés de jeunesse, de la patrie Que le temps verse, vieil étbanson Couronné de rouées et dorties. Les cbansons du sappelaient des • câlines • :les gars, en \t$ rbantant aui tilles tendaient des bouquets de (raidies eglantines e verre mi-plein du vin blanc des c
. Le Monde moderne. e-Segolène IIdIfuI, (inirnt (oii|«urs plus lointaines lui jours Iftujoiirs pins rouris de mon borizon Leur ( naïade de bronze qui versait de son urnel!ne barre dargent tlair à la Hsque deLa inotaine. musique du norlume étoile(lue dit le tiel qui veille à la rose endormie!Il souvenirs dorés de jeunesse, de la patrie Que le temps verse, vieil étbanson Couronné de rouées et dorties. Les cbansons du sappelaient des • câlines • :les gars, en \t$ rbantant aui tilles tendaient des bouquets de (raidies eglantines e verre mi-plein du vin blanc des du pavs sappelaient des • râlines (I les roupies le soir sur la route silenleIrrilounaient des baisers et baisaient des retrainssur la doufeur des lèvres et la langueur des mains :La douceur des cbansons taisait lallure plus lenteIles couples damoureui drapés de la même mante,(e. cliansons du sappelaient des c -,Les pampres de la mour (leurissaient aux llosfile tourajl parmi les pflile, luis fllf sfndonnall, sf Lfrjanl aoi rascaii ; pfrheurs épiaient !on Himmpil lrani|uillf. aromlfs Tolaicnl sur Ips saulrs, cl des forbeaniDnjours par Irois, graies comme un congrè noirs, el lourds el laids, senluiaienl dès {|uun paIle jai passani ré.sonnai( sur la passani qui sen allait vers laulergeOù le tin de Moselle dans la cruche de grèsAllendail sur la lable prèle pour son repas. les arlires soni plus lerls, plus douces les mllims<ii pais de naisiiance, à la terre messine,les peupliers roules blanches i sont plus gran(1rs fheijui du roulier i sont plus gros et grandQui passaient sur la route oil je enlant,Lis rues ; sont encor plus spacieuses quailleurs,les fleurs plus pénétrantes et les (mils sont meil- I s«l natal, où lon lombait tout enfant, [leursi lon sen ta pour toutes les landes de la terre. ers tous les soleils dor et tous les froids hiiers. 1 heures du souienir pasiienl
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