. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. 72 PHYTOPLANCTON DE L'ANTARCTIQUE. tence au milieu de ce bec d'une courte ligne médiane (fig. 50, II, IVj dont l'impression est ordinairement marquée dans le sillon qui Jormc la gaine de la valve suivante. Ce caractère a été nettement indiqué par Castracane dans les dessins et dans la diagnose. Peragallo signale en outre, au fond de l'impression de la calyptre. l'existence d'une épine que je n'ai jamais réussi à voir dans les exem- plaires que j'ai
. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. 72 PHYTOPLANCTON DE L'ANTARCTIQUE. tence au milieu de ce bec d'une courte ligne médiane (fig. 50, II, IVj dont l'impression est ordinairement marquée dans le sillon qui Jormc la gaine de la valve suivante. Ce caractère a été nettement indiqué par Castracane dans les dessins et dans la diagnose. Peragallo signale en outre, au fond de l'impression de la calyptre. l'existence d'une épine que je n'ai jamais réussi à voir dans les exem- plaires que j'ai examinés. Peut-être a- t-il considéré comme une épine la ligne médiane située au fond de l'impression ou la partie extérieure de la gaine (jui se prolonge au delà de la surface dos valves et simule en efl'et une épine ifig. :io, IV). Si maintenant on compare les formes ijue je viens de décrire au véritable //. û/ala de l'Océan (fig. ol), on cons- tate une grande ressemblance entre elles par l'existence de la gaine où se logeait la valve conliguë au moment de la division et le prolongement de cette gaine t|ui simule encore une épine, signalée par Brightwell (1). En réalilé, celte épine ne parait pas exister chez le //. (data, non plus que chez le //. iiicnitis. La diirérence entre ces deux formes réside surtout dans la pointe de la calyptre qui est relativement longue chez le R. alata et toujours l)rusque- ment tronquée chez le R. inonnls; en outre, on ne trouve pas chez le R. «/^//«typique l'impression linéaire caractéristique delà variété i>tpriiils. L'imbrication est très constante chez le R. alata (fig. 51); elle est variable chez le R. ineiinis suivantlalargeur des ceux-ci ont un diamètre de 10 à 20 u., l'imbrication est semblable à celle de. GOl Fig. ol. â liliizosolciiifi iihitii. â Forinus diverses ilopuis (/rncilliinfi jusiju'â r
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