Histoire des Soeurs de Sainte-Anne : les premiers cinquante ans, 1850-1900 . élèves ; et le samedi, celui de la commémoration des défunts,bienfaiteurs et religieuses. Le premier jour, à 9 heures dans lamatmée, Mgr Harkins, évêque de Providence, chanterait la messepontificale, et Mgr Bruchési, archevêque de Montréal et supé-rieur de la communauté, prêcherait. Après le dîner des Soeurs,plus que jamais réunies en famille , à 3 heures, on aurait lesalut du saint Sacrement et lon chanterait le Te Deum. Ledeuxième jour, à 9 heures du matin, Mgr Bruchési chanteraitla messe pontificale et Mgr Emard, é
Histoire des Soeurs de Sainte-Anne : les premiers cinquante ans, 1850-1900 . élèves ; et le samedi, celui de la commémoration des défunts,bienfaiteurs et religieuses. Le premier jour, à 9 heures dans lamatmée, Mgr Harkins, évêque de Providence, chanterait la messepontificale, et Mgr Bruchési, archevêque de Montréal et supé-rieur de la communauté, prêcherait. Après le dîner des Soeurs,plus que jamais réunies en famille , à 3 heures, on aurait lesalut du saint Sacrement et lon chanterait le Te Deum. Ledeuxième jour, à 9 heures du matin, Mgr Bruchési chanteraitla messe pontificale et Mgr Emard, évêque de Valleyfield, prêche-rait. A midi, le dîner offert aux anciennes élèves se prendraitau couvent. A 2 heures 30, séance littéraire consacrée à évo-quer les souvenirs dantan, et, à 5 heures 30, salut et bénédictiondu saint Sacrement. Enfin, le troisième jour, messe pour leschers défunts, que célébrerait le vénéré M. Piché. curé de Lachi-ne depuis trente-neuf ans, ancien supérieur et bienfaiteur insi-gne de la communauté.. LES SIURS DE SAINTE-ANNE 315 A ce moment, lInstitut divisé en quatre provinces, deux dansQuébec, une aux États-Unis et lautre dans lOuest, comptaitcinquante-quatre maisons, vingt-et-une dans Montréal, troisdans Valleyfield, quatorze aux États-Unis, onze dans la Colombieet cinq en Alaska. Les religieuses étaient au nombre exacte-ment de huit-cent-quatre, avec en plus soixante-dix-sept avait été réglé que toutes les maisons de lInstitut seraientreprésentées aux fêtes jubilaires. Dès la première quinzaine dejuillet, six-cent-vingt religieuses étaient réunies à Lachine. Onremarquait en particulier les déléguées des lointaines missionsde lOuest, dont au moins six nétaient pas revenues à la maisonmère depuis vingt-cinq ans et plus. Voici leurs noms : SœurMarie-Bonsecours, partie du Québec depuis 42 ans : Sœur Marie-Brigitte et Sœur Marie-Lucie, depuis 35 ans ; Sœur Marie-Zéno
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