. Le pegme de Pierre Covstav . ancien droit de guerre» 1 T<[*rratiovu cPhtio/ophique, NOz maicurs nont eftimé chofcplus propre à conferuer la maieftédVn grand Empirc,que la difei*plinedelart militaire: Se mêmes qui lavioîoitau camp,foudain parcomman*dément du capitaine ou chef êtoit punyà mort» Ec Lamachus métoit peine de latête à ceux qui offenfoient légèrement enla guerrc,n eftimant être chofc conuena*ble a la dignité des armes,quvn gendarme faillit pour la féconde fois. Car quieftceluy qui pardonnera la faute en la*quelle fouuentconGfte la perte dVn Royaume^Or toufiours aux anciens Ro;ma


. Le pegme de Pierre Covstav . ancien droit de guerre» 1 T<[*rratiovu cPhtio/ophique, NOz maicurs nont eftimé chofcplus propre à conferuer la maieftédVn grand Empirc,que la difei*plinedelart militaire: Se mêmes qui lavioîoitau camp,foudain parcomman*dément du capitaine ou chef êtoit punyà mort» Ec Lamachus métoit peine de latête à ceux qui offenfoient légèrement enla guerrc,n eftimant être chofc conuena*ble a la dignité des armes,quvn gendarme faillit pour la féconde fois. Car quieftceluy qui pardonnera la faute en la*quelle fouuentconGfte la perte dVn Royaume^Or toufiours aux anciens Ro;mains la difeipline de la guerre a été pluschère, que le propre fang ÔC parentage:SC nous trouuons plufieurs qui pour garder le droit des armes plus faintementnont voulu pardonner à leurs propresenfans. Car Brutus celuy qui fut pre*mierconful, tuafes enfans lors aduerfai*res delà Republique. Et laiflfa à tout ia*mais vn braue mouuement de retenir enguerre feuerité, Torquatus encorcs plus •?•. % y aufterementenlaprefence de toute Tar^mée feit mourir fonfilz,parceque fur Poecanon de gaigner la victoire il auoit donnél alarme contre lexprès commandesment de fon père. Lequel encores quileut bataillé heureufemét, fi pcnfalepereque tel fait ne deuroit être laifsé impunypour lexemple. Car toufiours a été trouué pumlTable de choquer fans le congéd u qui le fera encores quil enauienne bien,fi eft il à reprendre de ternerite. Or quà la mienne volunté nous euffions des capitaines femblables a Lama*chus à ceux que les legiftes appellent gésdarmes de la bataille celefte, non quenous deuiôs demander vne telle feuentéentre Crétiê à ce quvn chacun fache,que iuftice ÔC telles parties de vertune font moins requifes a céte bataille domeft!que,quà celle quife fait par fi les Payens ont eu pour grand mé*chef défaillir pour la féconde fois en laguerre en quel nombre de méchancetémeterons nous ceux qui couchés à lé


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