Histoire de Lille et de la Flandre wallonne . en 1053,selon les autres) pour séparer 1 Artois de la Flandre; et enfin LesWatteringues qui abondent dans la lisière maritime (2). ( 1 ) Voyez Mém. de la Société royale de Lille : 1836 et 1837, et la Carie ci-jointe. (2 ) Les Watteringues du département du Nord sétendent sur une longueur de septlieues et une largeur de quatre. Quelques auteurs en évaluent la superficie à \iugtmille, dautres à quarante-six mille hectares. Dès 1270, il est fait mention de Watte-ringues le long de lEscaut. Les canaux et rivières du département du Nord, sont au nombre
Histoire de Lille et de la Flandre wallonne . en 1053,selon les autres) pour séparer 1 Artois de la Flandre; et enfin LesWatteringues qui abondent dans la lisière maritime (2). ( 1 ) Voyez Mém. de la Société royale de Lille : 1836 et 1837, et la Carie ci-jointe. (2 ) Les Watteringues du département du Nord sétendent sur une longueur de septlieues et une largeur de quatre. Quelques auteurs en évaluent la superficie à \iugtmille, dautres à quarante-six mille hectares. Dès 1270, il est fait mention de Watte-ringues le long de lEscaut. Les canaux et rivières du département du Nord, sont au nombre de vingt-cinqformant une longueur de cent vingt-cinq lieues environ, ressource précieuse pour leCommerce et lAgriculture et qui laissent loin de nous, sous ce rapport, tous les autresdépartements de la Fiance. K 5- * ^ 1 > i; t ^ l >N J ^ I .*&«/ tt /,//<»!/,• Coupe Lille La Mer tttvetut utoiir àiài A Weait motjrrlr (a Mrr £ A liètroil Coupe du Pas de Calais. \ i\ elleiurnl <le l<i Ville 3e Lille depuis la Basse Deùle11 .Yloului thi Château, pus <jun 1*» Bascule tle la porte deTaris . .Niveau moyen de la Mer HisloiL-e Se 1 ÎTR im « k Position géographique de la Flandre. ±i Du temps de César, la Flandre, aujourdhui si belle, si parée, étaitremplie de marais, de bois, deaux stagnantes : peu à peu lindustrie aarraché du sol les broussailles qui le dérobaient aux bienfaisanteset fécondes influences du soleil; elle a réuni, dans des canaux, deseaux inutiles ou dangereuses; et la Flandre est devenue ce que nousla -voyons aujourdhui. Laissée à elle-même et à lintelligente directionde ses habitants, elle aurait été riche et heureuse. Mais sa position et les voisins que lui donna la politique modi-fièrent considérablement les conditions favorables que lui avait assu-rées la nature ; et ce fut là , trop longtemps, pour elle, un véritablefléau. Une grande fertilité, un climat exempt des brusques
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