. Égypte. on : dans cer-taines chambres même, dans les chapelles duNouvel An ou dans les reposoirs osinaquesdes terrasses à Dendérah, des zodiaquescomposés à limitation de ceux des Grecsremplacent les imageries stellaires doriginepurement égyptienne. Entre la plinthe et la corniche, cest-a-dire, selon la doctrine, entreciel et terre, le foisonne-ment des tableaux nestpas moindre. Ce ne sontplus seulement deux outrois registres qui séta-gent sur les parois, maiscinq, ou six, ou da-vantage, et leur multi-plication est la consé-quence naturelle de lavertu auxiliatrice quelon attribuait aux figure


. Égypte. on : dans cer-taines chambres même, dans les chapelles duNouvel An ou dans les reposoirs osinaquesdes terrasses à Dendérah, des zodiaquescomposés à limitation de ceux des Grecsremplacent les imageries stellaires doriginepurement égyptienne. Entre la plinthe et la corniche, cest-a-dire, selon la doctrine, entreciel et terre, le foisonne-ment des tableaux nestpas moindre. Ce ne sontplus seulement deux outrois registres qui séta-gent sur les parois, maiscinq, ou six, ou da-vantage, et leur multi-plication est la consé-quence naturelle de lavertu auxiliatrice quelon attribuait aux figuresdivines et à leurs actions. Si deux ou trois divinités espacéeslargement défendaient une chapelle contre la destruction, unevingtaine et plus augmentaient nécessairement la sécurité. Dautrepart, les espaces vides qui sétalaient entre elles étaient commeautant de brèches, par lesquelles les influences mauvaises auraientpu faire irruption : on singénia à les réduire en augmentant le 241. FiG. 461. — Le TEMPLE DK MessaourÂt.(Daprès Lepsius.) 16


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