. Oeuvres de M. de Saint-Evremont, avec la vie de l'auteur . urs ;Adieu les BalTettes,Adieu les Tailleurs. T I R c I Dieux! quelle cruel tourmentaDonne une inhumaine ni OEUVRES DE M, Au fidèle Amant l L I s I s;Un cœur quand il plaît en lui-même,Il fait peut efperer. T I R c I s*Loin de ce que j*aime,Abfent de moi-mêé dcLnuisJignore où je fuis. L I s I peu de larmes,Aux plus puifTans charmes :Plus nous aimerons,Et moins nous plairons. T I R c I s»Soumis, fidèle, fincére,Comment peut-on me haïr ?Comment métre fi contraire ? L I s I fer
. Oeuvres de M. de Saint-Evremont, avec la vie de l'auteur . urs ;Adieu les BalTettes,Adieu les Tailleurs. T I R c I Dieux! quelle cruel tourmentaDonne une inhumaine ni OEUVRES DE M, Au fidèle Amant l L I s I s;Un cœur quand il plaît en lui-même,Il fait peut efperer. T I R c I s*Loin de ce que j*aime,Abfent de moi-mêé dcLnuisJignore où je fuis. L I s I peu de larmes,Aux plus puifTans charmes :Plus nous aimerons,Et moins nous plairons. T I R c I s»Soumis, fidèle, fincére,Comment peut-on me haïr ?Comment métre fi contraire ? L I s I feriez mieux de trahir ,Avec le fecret de plaire,Quimportuner & fervir. DE SAINT-EVREMOND. 145^ T I R C I s. Quand je voudrois changer lingrate, la cruelle 5Ou trouver un objet qui me rende infidellc ?Le Compo s I TEUR. Le Tailleur vient darriver, Ceft à nous de nous fauver ,Le Choeur. Fuyons, le Tailleur arrive, Doat le charme la captive : Notre Mufîque aujourdhui Pourroit infpîrer lennui, Notre Mufique aujourdhui Pourioic iafpirei OEUVRES DE M. i44 BILLET AMADAME LA DUCHESSE M A Z A R I N. QUOIQUE la Mort paroiiTe afFreufe,Si javois Lot pour ma pleureufe »Et quHortence menât le deuilJe voudrois Wen être au cercueil. Mais fi Bowcher eft curieux,De voir la lugubre affiftance ;Adieu létat trifte & toute la doléance :Dès quon le verra dans ces lieu??La bonne Lot, la belle Hortence,Diront, « Bowcher , dun ton î Nous vous Tuivrons, noire préfencew Ne fait au Mort ni pis, ni évoyant les regrçt§ dont nos Morts font fuivîes, Quand DE SAINT-EVREMOND. 14; Quand on eft délogé ;Prenons notre congéte plus tard qnon pourra des bonnes compagnies. SUR LA MORT DE MADAME M I D D L E T O N. STANCES IRREGV LIERES. TOi qui vois le tombeau de notre illuflreBelle,Apprend quelle eut refprit aufll beau que le corps, La nature ayant fair pour elleComme un partage égal de Tes divins tréfors; Jamais, en la fleur de Ton âge ,J
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