Velazquez . ilshommes de la chamijre et do fonctionnaires y assistè cercueil fut transporté à dos dhomme dans le caveau de don(laspar de Fuensallda fpii, en témoignage dalfection, lui donna iunsilhospitalité suprême. On [jlaça sur le tondjeau une inscription cjne conqiosa, en rhoniuairdo son maître, Juan de Aliaro. Se[)t jinirs après la mort de ^ elazquoz,Juana lachoco, sa feinmc, rendait le dernier soupir : elle fut enterrée \ KI,A/,()IJKZ iS3 iuiprtS (le sou nuui. Les ])iof>raplies no se sont pas arrêtés à cettecoïncidence, niais )• a-t-il rien de pins éloqnont que cette inipossi-I
Velazquez . ilshommes de la chamijre et do fonctionnaires y assistè cercueil fut transporté à dos dhomme dans le caveau de don(laspar de Fuensallda fpii, en témoignage dalfection, lui donna iunsilhospitalité suprême. On [jlaça sur le tondjeau une inscription cjne conqiosa, en rhoniuairdo son maître, Juan de Aliaro. Se[)t jinirs après la mort de ^ elazquoz,Juana lachoco, sa feinmc, rendait le dernier soupir : elle fut enterrée \ KI,A/,()IJKZ iS3 iuiprtS (le sou nuui. Les ])iof>raplies no se sont pas arrêtés à cettecoïncidence, niais )• a-t-il rien de pins éloqnont que cette inipossi-Ijilité de snrvivrc à léponx eliéri après pins de qnarantc-denx ans dovie commune et dattachement passionné? Jais restes de lartiste dispaiiirent dans la première moitié dnxk siècle, lors de la démolition <le la paroisse de San .Tnan, laquelleétait oontig-no à lég-liso encore existante de Santiago. Nous ne tron-vons pas de termes jiour stigmatiser nue pareille profanation. l)u. Vl:>-us AU MIKUIR (CoJiccliun Moriilt, Rylaby Piirk, préa tie Biiniaid Uasllc) moins, grâce à Dieu, malgré le luiufrage oîi tant de trésors artistiquesde lEspagne se sont engloutis, la niajcnre partie des admirablesœuvres de Volazquoz, après avoir écliappé miraodeusement auxdivers incendies de lAlcazar, s\djsiste encore. La Junte des Ohras y Bosqiics décida, le i j août, cest-à-dire neufjours après le décès de \ elazqucz, que la redevance de niille ducatsquil touchait en qualité de surintendant des travaux de lAlcazarretournerait à la Junte. Le roi ne décréta rien f[nant au fond do laproposition ; il se contenta dannoter en marge : « Je suis abattu ». ]1avait lieu de lêtre, en effet. Ija responsabilité lui incombait davoir i84 VI-: :/ emplojé ^ elazqiiez, dès rentiôe de eclui-ci à la eoiir en iG2 ), luixtâches les plus incompatiljles avec les travaux artislifjues, et davoirmis ainsi des entraves îi son génie. Et qui sait si cette v
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