. Bulletin de la Société belge de géologie, de paléontologie et d'hydrologie. Geology; Paleontology. SEANCE DU 20 JANVIER 1903. La proximité relative, parfois immédiate, de la mer dans des sites pareils avait fait croire, non pas tout simplement que la distribution très générale des volcans le long de certains rivages maritimes monta- gneux est essentiellement due à l'accident tectonique et à ses consé- quences altimétriques, mais elle avait porté les géologues à admettre que la proximité de la mer â simple corollaire de la production de zones déprimées, voisines de relèvement
. Bulletin de la Société belge de géologie, de paléontologie et d'hydrologie. Geology; Paleontology. SEANCE DU 20 JANVIER 1903. La proximité relative, parfois immédiate, de la mer dans des sites pareils avait fait croire, non pas tout simplement que la distribution très générale des volcans le long de certains rivages maritimes monta- gneux est essentiellement due à l'accident tectonique et à ses consé- quences altimétriques, mais elle avait porté les géologues à admettre que la proximité de la mer â simple corollaire de la production de zones déprimées, voisines de relèvements montagneux â devait être consi- dérée comme un facteur agissant, source de l'intrusion des eaux marines, dont la réaction souterraine, au contact du réservoir 7>, aurait provoqué le phénomène volcanique avec ses colossales sorties de vapeurs d'eau, Fig. 1. â Dispositif pouvant servir indifféremment à illustrer Vhypothèse du magma igné considéré comme « feu central » ou « circumcentral » en présence de Vensemble de Vécorce terrestre, et l'hypothèse d'une masse ignée laccolithique (foyer périphé- rique) recouverte par la partie superficielle, seule plissée et fracturée, de cette même écorce, alors représentée partiellement dans son épaisseur. Ecartant ce point de vue accessoire, erroné si on le considère comme une donnée générale, et revenant à la figure schématique, bien connue, représentée ci-dessus, n'y lit-on pas clairement que les mouvement et glissement des voussoirs corticaux terrestres, leurs ruptures d'équi- libre, chutes et effondrements devront se produire de préférence précisé- ment dans les régions disloquées telles qu'en m n o p, plutôt que dans les régions latérales à allures régulières rs tu, non en rapport avec les parties disloquées et faillées en connexio
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