. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. ais cependant le traître de MatouMéditant jour & nuit par oùIl pourroit en tirer vengeance ,Le trouve enfin ; tout vient quand on Maitrefle avoit un Serin,Qui la charmoit de Ton ramage ;Le fcélérat un beau matinIncognito sen va rompre la cage ;Etrangle le Muficien ,Et tout rongé le porte à la loge du , je vous laifîe à juger le vacarmeQue la MaîtrefTe fit fe trouvant fans le logis eft en alJarme ;On court, on chercne ; on trouve en-finLe vrai corps du délit auprès de Ragotin. Ah ! le perfide ! Il faut quil meure ;Poin
. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. ais cependant le traître de MatouMéditant jour & nuit par oùIl pourroit en tirer vengeance ,Le trouve enfin ; tout vient quand on Maitrefle avoit un Serin,Qui la charmoit de Ton ramage ;Le fcélérat un beau matinIncognito sen va rompre la cage ;Etrangle le Muficien ,Et tout rongé le porte à la loge du , je vous laifîe à juger le vacarmeQue la MaîtrefTe fit fe trouvant fans le logis eft en alJarme ;On court, on chercne ; on trouve en-finLe vrai corps du délit auprès de Ragotin. Ah ! le perfide ! Il faut quil meure ;Point de pardon pour cet , quon me laflbmme. On obéit fur lheu-re ;En le frappant chacun le pleure :Mais lamitié nalla quà foupçonner le Chat j Livre V. 277 Et pas plus loin : du Chien nul ne prit ladéfence ;Et pour toute reconnoifîànce,Ceft dommage, dit-on 5 mais quy faire ? il cft ennemi nuit plus que cent amis ne fervent;Quà jamais les Dieux men préfervent»La Haine veille > & lAmitié 73 (OUVRES D-B M. DE LA MoTTE , ifr^jumênuai HOMERE ET LE SOURD. FABLE MONSEIGNEUR LE DUC DE NOAILLES. J_\| Oailles j toi,quifaisle métier de Héros, on le fçavoit Édre à Rome & dans iAtti-qoe;Qui connois Tufâge HéroïqueDe Tadion & du repos, Moderne (a) Scipion , propre à faire un Terence :Qui mcme dans les champs de Mars,Entretenons intelligenceAvec les Nourricons des Arts;Couvert des laiirierfdont BelloneTa couronné plus dune de ceux que je moiiTonnePar mes Poétiques exploits. Un Arbitre éclairé mal-aifément fe trouve ; Tout Ledeur ne meft pas un Jt.,:»e comp/tent. Dans ce iîécle hardi ( quelquefois je léprouve ) Soit que lon blâme ou quon approuve iOn décide plus quon nentend, % f*) Capicaîac Rom ain Ami de Tereuce Auceiir de comédîc5i Livre V. 279 Le Chantre {b) dAchille & des Rats ,Guindé fur des tréteaux dans une grandqplace, Recitoit à la populaceLes fotifes des Dieux , & les fânglans c
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