Lettres de deux amans, habitans d'une petite ville au pied des Alpes . linoculaÉLOii de 1 amour H É L O I s E. 43 VortS une fois Ci je vous rendrai pitoyable #LU fi vous me rendrez parjure. Son paiti éioit pris. M. dOrbe fut dà-vis de chercher les moyens de le fatisfaire ,pijLir le pouvoir renvoyer avant que fun re-tour fut découvert : car il nétoit .connu dans\d mailbn que du feul Hanz dont jétois fiire ,i^ nous lavions appelle devant nos gensd\m auire nom que le fien. (.2) Je lui pro-Mis quil te verroit la nuit fuivante, à con-dition quil ne refleroit quun inftant, quilne te parleroit point,
Lettres de deux amans, habitans d'une petite ville au pied des Alpes . linoculaÉLOii de 1 amour H É L O I s E. 43 VortS une fois Ci je vous rendrai pitoyable #LU fi vous me rendrez parjure. Son paiti éioit pris. M. dOrbe fut dà-vis de chercher les moyens de le fatisfaire ,pijLir le pouvoir renvoyer avant que fun re-tour fut découvert : car il nétoit .connu dans\d mailbn que du feul Hanz dont jétois fiire ,i^ nous lavions appelle devant nos gensd\m auire nom que le fien. (.2) Je lui pro-Mis quil te verroit la nuit fuivante, à con-dition quil ne refleroit quun inftant, quilne te parleroit point, & quil repartiroit lelendemain avant le jour. Jen exigeai fa pa-role ; alors je fus tranquille , je laiflal moumari avec lui, & je retournai près de toi. Je te trouvai fenfiblement mieux , lérup-tion étoit achevée^j le médecin nie rendit lecourage &L îeîpoif. Je me concertai da-vance avec Babi , & le redoublement, qu».,i-que moindre, tayant encore embarrafië latlîe, je pris ce temps pour écarter tout leiTiOnde , 6i faire dire à m
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