. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. les coquilles des calcaires d'orgon" 393 Calliostoma suturale Cossm. Taille petite ; forme trochoïde, conique, plus haute que large ; spire assez longue, croissant régulièrement sous un angle apical de 60° ; tours presque plans, non imbriqués, dont la hauteur atteint environ le tiers de la largeur, séparés par des sutures linéaires, quoique profondes, que borde en dessus un petit filet spiral un peu plus saillant que les trois ou quatre autres qu'on distingue ob- tusément sur le reste de la hauteur de chaque tour. Dernier
. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. les coquilles des calcaires d'orgon" 393 Calliostoma suturale Cossm. Taille petite ; forme trochoïde, conique, plus haute que large ; spire assez longue, croissant régulièrement sous un angle apical de 60° ; tours presque plans, non imbriqués, dont la hauteur atteint environ le tiers de la largeur, séparés par des sutures linéaires, quoique profondes, que borde en dessus un petit filet spiral un peu plus saillant que les trois ou quatre autres qu'on distingue ob- tusément sur le reste de la hauteur de chaque tour. Dernier tour égal au tiers de la hauteur totale, Fi^. 25. quand on le mesure de face jusqu à la suture ven- in ra!e°Coss *"" tra^e' subanguleux à la périphérie de la base qui est circonscrite par un double tilet spiral ; elle paraît lisse et excavée au centre ; ouverture subrhomboï Dimensions. â Hauteur : 6,5 mm. ; diamètre : 5 mm. Rapports et différences, â Les spécimens de cette espèce sont nombreux mais tous plus ou moins mutilés, sauf de très petits spécimens népioniques qui n'ont pas encore leurs caractères bien nettement formés. Néanmoins, il m'a été impossible de les rap- porter à C. Zollikoferi qui a un angle apical plus évasé, et dont le galbe est plus large que haut ; son ornementation est aussi plus fine, et ses tours ne sont ni évidés,ni carénés en avant comme ceux de C. Bruni qui a d'ailleurs aussi une forme plus évasée. C'est une de ces nombreuses formes embarrassantes qui ne paraissent pas â au premier abord âmériter qu'on les distingue sous un nom spécifique ; on ne s'y décide que dans l'impossibilité de les réunir aux formes déjà connues, telles que T. Gaudini Picï. et Camp., du Jura suisse, qui a presque le même angle apical, mais qui a une ornementation plus grossière avec un angle saillant égal à la part
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