. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. Syrphides du Japon. 409 milieu, et le bord postérieur, testacés; pubescence fauve, luisante, courte, couchée, excepté sur les côtés où elle est longue et dressée. Troisième et quatrième segments bruns à pubescence fauve luisante courte et couchée. Hypopyge brun noir, à poils noirs. Ventre brun, taché de fauve de chaque côté du deuxième segment ; glacé de gris, pubescence grisâtre. Pattes robustes, tous les fémurs renflés, les postérieurs arqués et très gros (fig. 10). Tous les tibias légèrement arqués et renflés au milieu. C
. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. Syrphides du Japon. 409 milieu, et le bord postérieur, testacés; pubescence fauve, luisante, courte, couchée, excepté sur les côtés où elle est longue et dressée. Troisième et quatrième segments bruns à pubescence fauve luisante courte et couchée. Hypopyge brun noir, à poils noirs. Ventre brun, taché de fauve de chaque côté du deuxième segment ; glacé de gris, pubescence grisâtre. Pattes robustes, tous les fémurs renflés, les postérieurs arqués et très gros (fig. 10). Tous les tibias légèrement arqués et renflés au milieu. Couleur brun foncé; les genoux, la base et l'extrémité des tibias, testacés. Pubescence mêlée de fauve et de noir. Tarses larges, plats; « empodia » rougeâtres, larges; ongles rougeâtres à bout noir. Cuillerons courts, bruns, fran- gés de fauve. Balanciers Fig. 10. — Cynorrhina Ferdinandi Hervé-Bazin, cf. Patte postérieure. 18. Xylota Coquilletti, no- men novum (= X. cuprina Coq. nec Bigot). — Une 9 de Tokyo, 15 mai 1909. Le nom de cette espèce doit être changé, Bigot ayant décrit sous le nom de cuprina une espèce de l'Inde tout à fait différente. La description de Coquillett permet de reconnaître aisément l'in- secte. Mais il n'a vu que le cf. La Q présente les différences sui- vantes : front étroit, presque parallèle, avec la face élargie exactement comme chez la vulgaire X. segnis L. Vertex à reflet bleu d'acier. Pat- tes plus largement testacées : les tibias le sont tous, et presque en entier, sauf un anneau noirâtre plus accentué aux postérieurs. Tarses inter- médiaires testacés sauf les deux derniers articles. Coquillett ne mentionne pas les deux rangées d'épines au-dessous des cuisses postérieure», que cette espèce possède, exactement comme chez segnis L. Il en résulte que les deux formes sont extrêmement voisines, et, après comparaison minutieuse, je ne puis relever entre elles aucune
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