. Le Jardin des plantes : description. escendî je naperçus ;iucun îles nôtres, et je fus vivement incpiict; jene savais de quel côté les chercher; dailleurs il fallait débarrassernos bêles de leurs instruments de natation. A peine avions-nous com-mencé, que des cris de joie vinrent frapper nos oreilles et remplirnos cœurs des]iérance ; bientôt nous vîmes arriver nos trois chers pe-tits garçons, suivis de leur mère, et tous bien portants et joyeux vin-rent se jeter dans nos bras. Ainès que la juemière ivresse de bonheuren nous retrouvant sains et saufs fut passée, nous nous couchâmesl


. Le Jardin des plantes : description. escendî je naperçus ;iucun îles nôtres, et je fus vivement incpiict; jene savais de quel côté les chercher; dailleurs il fallait débarrassernos bêles de leurs instruments de natation. A peine avions-nous com-mencé, que des cris de joie vinrent frapper nos oreilles et remplirnos cœurs des]iérance ; bientôt nous vîmes arriver nos trois chers pe-tits garçons, suivis de leur mère, et tous bien portants et joyeux vin-rent se jeter dans nos bras. Ainès que la juemière ivresse de bonheuren nous retrouvant sains et saufs fut passée, nous nous couchâmeslous sur lherbe, et je commençai à raconter avec ordre nos occupa-tions sur le vaisseau, ainsi ipie notre trajet. iMa femme était si sur-prise et si couteute de voir ;uilour delle tous nos utiles animaux, etexprimait si naïvement sa joie, que mon ]ilaisir eu fut doublé. « ,1eme suis cassé la tête toute la journée, me disait-elle, pour imaginerun moyen de les transporler, sans ([uil me soit venu aucune idé •rs. Typo[;r;q>liir IMnn frrrrs , nprin Ernest le découvrit livré à celto occupation assez malpropro. — Oui, dit Fritz avec fierté; pour celle fois monsieur le conseillerprivé a fait preuve de laleul. — Cest très-vrai, réiioiwlis-je ; javoue (li tonte humilité (|uc cestà lrilz que les éloges appartiennent, el(|uc cest lui ipii ma mis surla bonne route. » Sa mère se leva et embrass;i leiulr<meut son premier-né. « ^otre reconnaissance vous est due ;i t(uis les deux, nous dit-elle, vous niHis avez ranuué avec ce IroupiMU tout ce son de mer, célèbre par sa taille, sa force, sa voraeité, et par lagrandeur démesurée de sa gueule garnie de plusieurs rangs de dents aiguës,coupantes et de , roc «le V;tn{;irar(i, 3(i. LE ROBINSON SUISSE. 17 tcau^ HcffaiJez, maman, cette jolie petite voile,


Size: 1413px × 1768px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1850, booksubjectmammals, bookyear1851