. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... . — 159 — risées ; comme d'autre part, les descriptions sont toujours écourtées il devient très difficile de tenter une assimilation rationnelle. Watelet a décrit, dans les lignites du Soissonnais, AmygdaUis prisca Wat. (Fig. 82) (i). « Ce noyau présente, dit-il, les plus grandes (' analogies avec celui de YAmygdalus Persica, mais il est plus '< petit que celui qui, de toutes les variétés connues, a le moindre « volume». Nous avons vu que les noyaux sauvages étaient de dimensions moindres. Quoiqu'il en


. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... . — 159 — risées ; comme d'autre part, les descriptions sont toujours écourtées il devient très difficile de tenter une assimilation rationnelle. Watelet a décrit, dans les lignites du Soissonnais, AmygdaUis prisca Wat. (Fig. 82) (i). « Ce noyau présente, dit-il, les plus grandes (' analogies avec celui de YAmygdalus Persica, mais il est plus '< petit que celui qui, de toutes les variétés connues, a le moindre « volume». Nous avons vu que les noyaux sauvages étaient de dimensions moindres. Quoiqu'il en soit, par les rugosités de la surface, aussi bien que par sa forme sphérique, ce noyau s'écarte Fig. 82.— Amvgda- . , 1 ? 1 n « . ^ ^ . 1 • 1 rr 'a i lus prisca Wat. Dcaucoup de ceiui de Menât, tout en ayant avec lui des atnnités (Bassin de Paris, d'après ). génénques. Unger signale (Flore de Sotzka. PI. XXXIV. Fig. i^)un noyau de Prunus : Amygdalus (Prunus)pereger Ung. (Fig. 83) ; ce noyau est plus allongé que celui de Menât. Unger figure un certain nombre d'Amygdalus et de Prunus comme termes de comparaison. C'est avec Amygdalus argenlca que celui de Sotzka offre le plus d'affinités, tandis que celui de Menât se rapproche de XAmygdalus nana. A Gleichenberg(2), Prunusnanodeset P. atlantica sont lisses : jl en est de même de P. œgea (51 de Kumi et de P. mohicana de Radoboj (4); d'autres, comme VAmygdalus persicoides{'^) de Franzenbrunn près Eger (Bohème), présentent des noyaux munis d'anfractuosités, mais leur grosseur et leur forme les différencient de celui que nous étudions ici. Ludwig a décrit un certain nombre de noyaux de Rosacées de la localité de Dorheim, sous le nom de Prunus rugosa (6), et notamment un petit noyau de 9 m m de long sur 8 à 9 m/m d'épaisseur, qui paraît avoir par la figure les plus grands rapportsavec celui de Menât, mais il est pyriforme ovale aigu et présente une forte saillie à la suture, il


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