. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... ut 2 du 16 pieds, disposé ainsi sous lesdeux précédents; —il jouait accouplé dans les notesles plus basses avec le deuxième clavier. es dif fifdéfi difH c d e H c gif ba h c 4° Le quatrième clavier (pédale) et le plus bassenfonçait avec les pieds et servait aussi avec le cla-vier de discant supérieur « pour le grand apparat oule grand tapage - ». cif dif fif git bHc d ef gif a hc La description du premier clavier discant donne-rait à supposer quil se trouvait dans lorgue de Hal-berstadt un dispositif permettant de séparer les mi
. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... ut 2 du 16 pieds, disposé ainsi sous lesdeux précédents; —il jouait accouplé dans les notesles plus basses avec le deuxième clavier. es dif fifdéfi difH c d e H c gif ba h c 4° Le quatrième clavier (pédale) et le plus bassenfonçait avec les pieds et servait aussi avec le cla-vier de discant supérieur « pour le grand apparat oule grand tapage - ». cif dif fif git bHc d ef gif a hc La description du premier clavier discant donne-rait à supposer quil se trouvait dans lorgue de Hal-berstadt un dispositif permettant de séparer les mi-^t-tures de la montre, soit par des registres, soit, ce quiest encore assez probable, en ayant placé ces jeuxchacun sur un sommier spécial. Lorgue de Halberstadt avait vingt soufflets des-servis par dix souffleurs. Ces derniers, daprès uneimage , se suspendaient à une perche horizontale(llg. lo4), et, mettant leurspieds dans deux sabotsattachés aux tables mobiles des soufllets, les refou-laient et les relevaient alternativement. Cette ma-. FiG. 154. A, pompes; B, table supérieure; C, table inférieure; D, soupupes JinspuaUoii avec tasseau ElimitiuU leur ouverture;F, soupapes île retenue ; G, porlcveut allant de la soufflerie à lorgue ; II, plis des pompes ; /, liluc de pierre servant ^ïcharger la pompe; J, bride pour engager le pied du souffleur et lui permettre de soulever la la:blc aupérieuredcs pompes. J. OiijaHMjrapliia : deuxième volume de son Syntatima uiasicum (Wolfenbiittcl, 1618).2. Ce qui nindique pas (Quune tirasse existait avec le clavier de discant. , ESTHÉTIQVE ET PÉDAGOGIE LORGUE 1057 nœuvre, liieii fatigante, ne pouvait produire quunvent fort inégal, ilonl la pression nétait mesurée quepar le poids de lhomme et lénergie quil déployaitpour refouler ses souftlels. Lorgue de Ualberstadt ainsi décrit peut servir determe de comparaison ou de repère et lix^i en gran-des lignes létat de développement de liuslrumentau
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