. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. ÃD. ANDRÃ. â l'horticulture ANGEVINE 43 rabies qu'elles couvraient 108 hectares. Mais la Révolution de 1848 ayant arrête brusquement les affaires, André Leroy chercha et trouva dans l'Amérique du Nord de nouveaux débouchés, dont son envoyé, Baptiste Desportes, avait été le principal et ingénieux instrument. En peu d'années, la surface de ses cultures doubla : elles se divisèrent en trente services spéciaux comprenant tous les arbres et arbustes de plein air. Son catalogue descriptif et raisonné, publié en 1855, fut traduit en cinq
. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. ÃD. ANDRÃ. â l'horticulture ANGEVINE 43 rabies qu'elles couvraient 108 hectares. Mais la Révolution de 1848 ayant arrête brusquement les affaires, André Leroy chercha et trouva dans l'Amérique du Nord de nouveaux débouchés, dont son envoyé, Baptiste Desportes, avait été le principal et ingénieux instrument. En peu d'années, la surface de ses cultures doubla : elles se divisèrent en trente services spéciaux comprenant tous les arbres et arbustes de plein air. Son catalogue descriptif et raisonné, publié en 1855, fut traduit en cinq langues ; il était basé sur une riche Ãcole d'arbres et d'arbustes qui rendit les plus grands services aux dendrologistes de son temps et que le public était admis libéralement à visiter. Le couronnement de l'Åuvre d'André Leroy fut son Dictionnaire de Pomologie publié en six volumes avec l'active collaboration de Bonneserre de Saint-Denis,'et dont le dernier tome ne parut qu'en 1879. Bien avant la date de sa mort, survenue en 1875, la renommée d'André Leroy était universelle ; il fut fait chevalier de la Légion d'honneur et une place d'Angers porte aujourd'hui son FiG. 3. â litalilissement Louis Leroy. L'horticulture française doit s'incliner avec respect et admiration devant ce nom vénéré (Applaudissements). Lorsque le Comice horticole se transforma en Société d'horticulture, le 2 janvier 1864, André Leroy en avait été tout naturellement nommé président. Mais il ne garda pas longtemps ces fonctions, qui furent occupées ensuite par M. Drouard jusqu'en 1878, époque à laquelle M. Alphonse de Ja Devansaye lui succéda. Cette fois, c'était à un amateur, non à un industriel, que la Société confiait sa direction. M. de la Devansaye s'était déjà fait un nom comme collectionneur de plantes. Son parc du Fresne, près de Noyant, était réputé ; s
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