Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . ent le cours du fleuve, ou, comme à Varzaminor, re-vêtent les hautes terrasses alluviales quont laissées danciens lacs. A traversles branchages des arbres se montrent les blancs sommets, les eaux dor-mantes sont éparses dans les vasques de granit, et du haut des cirquessécoulent les glaciers. Le Kohistan présente aussi des phénomènes quiressemblent à ceux des volcans en éruption. Une des montagnes de la hautevallée du Zarafchan, le Kan-tagh, est veinée de puissants gisements dehouille en combustion ; une atmosphère de fumée et de gaz m


Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . ent le cours du fleuve, ou, comme à Varzaminor, re-vêtent les hautes terrasses alluviales quont laissées danciens lacs. A traversles branchages des arbres se montrent les blancs sommets, les eaux dor-mantes sont éparses dans les vasques de granit, et du haut des cirquessécoulent les glaciers. Le Kohistan présente aussi des phénomènes quiressemblent à ceux des volcans en éruption. Une des montagnes de la hautevallée du Zarafchan, le Kan-tagh, est veinée de puissants gisements dehouille en combustion ; une atmosphère de fumée et de gaz méphitiqueslenveloppe, et pendant la nuit le reflet du charbon embrasé rougit lescieux4. Les sables aurifères du Zarafchan ne sont plus exploités que par un 1 Valeur annuelle des récoltes de loasis de Samarkand, daprès Sobolev : 8 530 000 roubles. 2 Mémoires de Babev, trad. de Pavet de Courteille; — Sobolev, Z(q)iski Geocjr. Obchtchcslva,IV, 1874. 5 Al. Burnes, Travels into Bokhara. 4 Fcdtchenko, Geographical Magazine, may 1874. ili. es .— VALLÉE DU ZARAFGHAN. 557 bien petit nombre dorpailleurs misérables. La digue dor que la légendedit avoir été construite par Alexandre en travers du lac qui porte son nom,naurait plus laissé que des restes informes et ne livrerait plus que derares paillettes au courant1. La partie la plus peuplée de loasis est celle qui continue le Miankal ou1 « Entre Rivières » de Bokhara : en cette région, de Kattî-kourgan à Pen-chambe (Peïchambe), les villages sunissent en une ville continue, que lesarbres fruitiers font de loin ressembler à une forêt; chaque jardin semble N° 121. OASIS DU ZAIUFCHAN.


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