Journal d'agriculture pratique . ant une odeurdésagréable de tannerie ; on retire encore deces fosses une petite quantité dhuile infé-rieure dite huile denfer ou dinfect. Il estplus que probable que, dans lavenir, ladmi-nistration sera conduite à se préoccuper dutraitement de ces eaux résiduaires, au moins M. N. Mi^ X Réseuce. LES MACHINES DESTINÉES A LEXTRACTION DE LIIUILE DOLIVE dans certains endroits où ils risquent decompromeltre la salubrité. Les usines européennes sont identiques auxmasra comme procédé et principe de maté-riel ; on na apporté que des modifications deconstruction dans le
Journal d'agriculture pratique . ant une odeurdésagréable de tannerie ; on retire encore deces fosses une petite quantité dhuile infé-rieure dite huile denfer ou dinfect. Il estplus que probable que, dans lavenir, ladmi-nistration sera conduite à se préoccuper dutraitement de ces eaux résiduaires, au moins M. N. Mi^ X Réseuce. LES MACHINES DESTINÉES A LEXTRACTION DE LIIUILE DOLIVE dans certains endroits où ils risquent decompromeltre la salubrité. Les usines européennes sont identiques auxmasra comme procédé et principe de maté-riel ; on na apporté que des modifications deconstruction dans le biojeui ainsi que d , presses ou la fonte et le fer ont lemplacele bois La réduction des olives en s ellectuepar des broyeurs loimts de deux roues enfonte ou ( I] 1 11 I I ^ > roulant el iipant catégories de broyeurs et de presses en deuxsections, la première réservée aux petitesusines, la seconde comprenant le matérieldestiné aux grandes huileries. Les broyeurs classés premiers sont, pour. dans une auge I, des racloirs 0 L N, convenablement disposés, ramènent incessammentsous les meules la pulpe qui tend a s écarterlatéralement. Laxe de rotation D est mis enmouvement par une flèche de manège direct,par des engrenages et un arbre de transmis-sion (fig. 40) actionné par un manège ou unmoteur quelconque (1). Souvent on travailledune façon discontinue : une charge dolivesest jetée dans lauge du broyeur dont on faittourner les meules pendant un certain temps,puis, en ouvrant la trappe M (fig. 39), la pâtesécoule dans des récipients. Dautres fois ontravaille dune façon continue : les olivesarrivent régulièrement, et par petites quan-tités, à la partie centrale de lauge, pendantque la pâte, refoulée à la périphérie, séchappeconstamment par les ouvertures dont onrègle la section découlement. Le jury de Sfax (2) a divisé chacune des létrole sont très employés ;?ltorat, par suite du bas p:iieours comprenait une _si i.
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