Traité des maladies de l'enfance . eu saillantes, semblent être le dernier vestigede papules en voie de décroissance. On les trouve au pourtour de lanus,sur les fesses, à la région supérieure et postérieure des cuisses, sur lescrotum et les grandes lèvres. Leur nombre est très variable, quelquefoislon nen compte que quatre ou cinq, mais il est des cas où elles sont beau-coup plus nombreuses, sans être jamais conlluentes. Elles ne saccompagnentpas dadénite inguinale, et il est tout à fait exceptionnel que lon observe enmême temps une ou plusieurs des variétés de lérythème vésiculeux. Quand () P
Traité des maladies de l'enfance . eu saillantes, semblent être le dernier vestigede papules en voie de décroissance. On les trouve au pourtour de lanus,sur les fesses, à la région supérieure et postérieure des cuisses, sur lescrotum et les grandes lèvres. Leur nombre est très variable, quelquefoislon nen compte que quatre ou cinq, mais il est des cas où elles sont beau-coup plus nombreuses, sans être jamais conlluentes. Elles ne saccompagnentpas dadénite inguinale, et il est tout à fait exceptionnel que lon observe enmême temps une ou plusieurs des variétés de lérythème vésiculeux. Quand () Parrot. Loc. p. 100.(*) Loc. cit., p. 1 or». [L. MALADIES DE LA PEAU. les malades guérissent, les papules saffaissent avec une lenteur après quelles ont disparu, on trouve une tache brune à la placequelles occupaient. » Parrot, dans ses premières études, ne se prononça pas nettement sur lanature de cet érythème papuleux; en tout cas, il ne lattribuait pas alors à la. Cette figure extraite du Traité de la syphilis héréditaire, de Parrot, représente le type de sa « syphi-lide lenticulaire », qui est purement et simplement la forme typique de la dermite papuleuse, étudiéedans ma thèse sous le nom de syphiloïde post-érosive. Il sera intéressant de comparer cette figure à cellequi est insérée dans ma thèse. Le hasard ma permis de retrouver à lhôpital Saint-Louis, dans les documents légués par Parrot,lobservation de lenfant dont sa planche reproduit la lésion : il ne présentait aucun symptôme dhérédo-syphilis. syphilis; môme, il donne assez longuement le diagnostic différentiel de cetérythème et des éruptions fessières spécifiques. Mais plus tard, entraînépar le courant qui lui fit voir dans le rachitis une lésion syphilitique, ilmodifia son opinion primitive, et F érythème papuleux devint la sypkilidelenticulaire, en même temps que la description quil en donnait devenaitplus pré
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