L'illustration : journal universel . §ais lors-que le panneau de derrière desa voilure fut soudain heurté,rlans la me Richelieu , par leh ancard dun tonneau de por-teur deau, et enfoncé violem-ment; par bonheur, ni made-moiselle Racliel ni la personnequi se trouvait avec elle dans lavoilure nont été blés: le cardinal, qui savail pourvoir tous ci ux de sa famille, avaitdonné à sa nièce une dol de cenl mille livres de rentes quelle appoi la ii mariag . prii ce Colonna, coi nélablc de Na pics, â un pauvre mari qui aiail avoii de bien grande! info unes de mentionner, Théâtre-Français,
L'illustration : journal universel . §ais lors-que le panneau de derrière desa voilure fut soudain heurté,rlans la me Richelieu , par leh ancard dun tonneau de por-teur deau, et enfoncé violem-ment; par bonheur, ni made-moiselle Racliel ni la personnequi se trouvait avec elle dans lavoilure nont été blés: le cardinal, qui savail pourvoir tous ci ux de sa famille, avaitdonné à sa nièce une dol de cenl mille livres de rentes quelle appoi la ii mariag . prii ce Colonna, coi nélablc de Na pics, â un pauvre mari qui aiail avoii de bien grande! info unes de mentionner, Théâtre-Français, fessant de Al. A- sest montré Noublions \à propos dule début î,avec succès dans la comédie ;AI. Adolphe Dupuis porte unnom cher au théâtre; nous es-pérons quil saura le porter di-gnement. Kncore un hôtel qui tombe !sécrient les fidèles amateursde notre architecture parisien-ne; hélas, oui! voici que lonmet en démolition complète, niais, lhôtel ou que le cardinalil bà tii pour safameuse .Mariedemeure. édaillon de David.) __rlequaiMplutôt le pâli Ma/.ann avait lait bain pour sa (Guillaume Schlegel, di jolie nièce, 1 terfaùe^VaquXseS | lvec une femme si. Ãap;icie«se-si 1,izan .. A eh. I me Louis XIV. - Vous vous rappelez le mot digne par son espnl , de son^... le . ,â, nui termine cette galanterie : « Vous pleurez, disait lAcadémie des lium,âisi,:<:â Bnllammen commMarié (,«c7c.^!,-â¢) )l pars. « ((..ire ce magnifique hôtel, I sous les plus heureux auspices, dans ce bel hôtel qu ?tere, de le Louvre, la destinée de Marie Uancini devait sachever froi-de nient, trislemi ni les ténèbres et la langueur dun cloi-tre espagnol. Sa vie . litière nesi quune équipée, pour ainsidire; laventure y domine dun bout à lautre; dabord cettepasaion royale de Louis XIV sibrusquement rompue; le cou-vent au heu du Louvre; puis
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