DéfenseurOuvrage religieux, politiques et littéraire . assemblée quidoit tourmenter laFiarice, et quaisisi il y aura so-lidarité de crimes. Une résistance légale lui est op-posée, elle en triomphe, et pour la dernière foiselle se récrée du désespoir public. Tels sont en abrégé les faits (jue présente à laméditation de la jeunesse, ou pour mieux dire à lagénérosité de son cœur, lécrivain estimable à quinous devons lhistoire de France sous le rèsiie dela Convention. La source où il a puisé est irrécu-sable, et puisque tout est vrai dans les tristes pagesque la frénésie conventionnelle a léguées


DéfenseurOuvrage religieux, politiques et littéraire . assemblée quidoit tourmenter laFiarice, et quaisisi il y aura so-lidarité de crimes. Une résistance légale lui est op-posée, elle en triomphe, et pour la dernière foiselle se récrée du désespoir public. Tels sont en abrégé les faits (jue présente à laméditation de la jeunesse, ou pour mieux dire à lagénérosité de son cœur, lécrivain estimable à quinous devons lhistoire de France sous le rèsiie dela Convention. La source où il a puisé est irrécu-sable, et puisque tout est vrai dans les tristes pagesque la frénésie conventionnelle a léguées elle-mêmeà lirrécusable Moniteur, sachons du moins en ap-prendreihorreur de cesdoctrines quiontétendu lesravages et poussé loppression si loin (jue de désarmerlui instant desa force l honneur français, (|uejusque-là onc navoit jamais vaincu. Mais après de &^terribles désastres, ce nest pas assez de parler auxnations, il faut que la voix monteplus haut. Jedirai donc, si les révoialioi^is saccomplissent par 3. (34)es peuples, elles se préparent par les fautes desprinces. En Angleterre, un roi osa loucher à la re-ligion, un long temps se passa sans que le vulgairedes sages en parut effrayé. Cependant de lortho-doxie religieuse altérée naquit une si horrible tem-pête, que le sang dun roi ne put pas même Ta-paiser, et que depuis une sourde agitation troubleet inquiète cette contrée; mais là, enfin. Dieu restacomme dernière colonne de lédifice social. EnFrance on insulte la religion, un prince oublie desévir. Des années, qui, sous leur brillant éclat, ca-choient tant de maux, sécoulent tranquilles;maisle moment arrive. i.\vant quune assemblée coupa-ble osât attaquerla foi, la philosophie moderne enavoit déjà déshérité les coeurs; Dieu manqua donctout-à-fait à ladoration de la France; alors se lé-pandit en peu de temps sur elle plus de douleursque nen contient lhistoire entière des hommes. 11en devoit être ainsi. Le


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