Œuvres diverses de M L de Chaulieu . galamment Au tournois, combats de bariére , Q^ie prépare votre enjouementA Vénus, qui chez vous doit tenir Cour pléniercj Mérite humble remerciment. Si je jouis de la lumière , Je n*y manquerai nullement ;Qui ne fuivroit aveuglémentLes ordres dune Princefle ,Qui fçait fi gracieufcment Joindre au pouvoir dune DéefleTout ce quune morcelle eut jamais dagrément t, , Mais quand bien même la Parque Mauroic, dun coup de cifeau % âe M. £. âe ChauUcH» 325 Fait pafler le noir ruiffcau , Ou Caron mène fa barque ; Seigneur, n*cn fokz étonné.Vous me verriez encor venir
Œuvres diverses de M L de Chaulieu . galamment Au tournois, combats de bariére , Q^ie prépare votre enjouementA Vénus, qui chez vous doit tenir Cour pléniercj Mérite humble remerciment. Si je jouis de la lumière , Je n*y manquerai nullement ;Qui ne fuivroit aveuglémentLes ordres dune Princefle ,Qui fçait fi gracieufcment Joindre au pouvoir dune DéefleTout ce quune morcelle eut jamais dagrément t, , Mais quand bien même la Parque Mauroic, dun coup de cifeau % âe M. £. âe ChauUcH» 325 Fait pafler le noir ruiffcau , Ou Caron mène fa barque ; Seigneur, n*cn fokz étonné.Vous me verriez encor venir à Châtenay , Car Plucon, quoiquinflexible ,Si Du Maine daignoit feulement mapeller > Bien-tôt devenu fenfibie,Avec un compliment me laifleroit aller j Et mieux que ne fît Orphée Pour Euridice autrefois , Le doux charme de fa voixMe conduiroit à Seaux tout droit de TEliEcea Ainfi quoi quordonne le Châcel enchanté , vers fix heures je vole» Et vous maurez vif ou mort. Pour Spe(5iaceur béné X5 j 2 ^ OEuvres diver/es t 1 f A M- ROUSSEAU* SUR LA DIRECTIONQ^UE LUI A VOIT DONNEE MONSIEUR CHAMILLART, A Fontainebleau au mois de Septembre1707. V^Uavecplaîfir du ParnalTe Je te vois defcendre au Bureau SDans un an, qu*il fera beauVoir le Nouriflon dHoraceDrefler état, tirer de place en place !La fortune,en fes changemensiSemble à fes aveuglemensMêler quelque connoiffancc ;Car mon amitié dès long-temsNe voit qu*avcc impatience ,Quil ne manque à tes agrémcns ,RouiTcau, quun peu plus dabondaace ; de M. L» de Chaulte% 327 Mais il eft honteux à la France Que ton cfprit & ces talens Ne la doivent quà la , quoiquil en foit, de ta félicité ;Msfis, fur tout que la foif daugmenter ta ckevânceNe te dérobe pas à ton oifivetc ; Bt fouviens-toi que la richefle Que donn^ Taffiduité, Ne vaut pas la fainte pareflc Qtiun fage libertin profeiTc» Avec joïeufe pauvreté. Ainfi, fans changer de maxime » Suis éxaéleme
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