. Le Monde moderne. driip. le second tic Naiiseii chiiis ^onvoyage illustre, sest proposé do résoudrele problème de lextrémité nord du Groen-land : celte extrémité est-elle formée parune île, ainsi que le croit Peary, ou Ijienpar un groupe dîles? Il veut, de plus,étudier le tracé do la cote est, inconnu aunord du cap Bismarck, et la formation desénormes blocs de glace marine, la • glace[laléocrystique » de Nares. A bord duFrain. Sverdrup est parti de Christiania,le Jè juin IS98. Le lieutenant Amdrup a expéditions de Nordcnskjiild (18y0j et deCh. Habot (1892), pour avoir sur lintéricui-de larch
. Le Monde moderne. driip. le second tic Naiiseii chiiis ^onvoyage illustre, sest proposé do résoudrele problème de lextrémité nord du Groen-land : celte extrémité est-elle formée parune île, ainsi que le croit Peary, ou Ijienpar un groupe dîles? Il veut, de plus,étudier le tracé do la cote est, inconnu aunord du cap Bismarck, et la formation desénormes blocs de glace marine, la • glace[laléocrystique » de Nares. A bord duFrain. Sverdrup est parti de Christiania,le Jè juin IS98. Le lieutenant Amdrup a expéditions de Nordcnskjiild (18y0j et deCh. Habot (1892), pour avoir sur lintéricui-de larchipel les premières données sé-rieuses ; et ce ne fut quen IHMj, a la suitede la double traversée du fameux alpi-niste Conway, quon eut de ces terresarctiques une connaissance précise. Au lieudes plateaux couverts de neige, à lexis-tence desquels chacun croyait, Conwayrencontra aes régions montagneuses nonglacées, à lexception dun glacier, lIvory,et une série de vallées vertes. En 1898,. POLE — r RI s été chargé, par la « commission danoisedes explorations géographiques et géolo-giques du Groenland >■, de reconnaître lapartie de la côte orientale comprise entrele 06 et le 70 de latitude nord : il y a làune lacune que personne jusquici nest par-venu à combler. Amdrup a quitté Copen-hague, le 16 août 1898,sur la barque à va-peur Go(///iaa6, et il a atteint Angmagsalik,stationgroonlandaise, le 31 août; il devait,après lhivernage, tenter en canot, entreterre et banquise, la reconnaissance dela côte inconnue. Enfin, on annonce pourcette année-ci, sur la même côte, uneexpédition du professeur \athorst. Le Spitzberg, si assidûment fréquentédepuis 1596, était resté, jusque dans cesdernières années, presque entièrementinconnu, dès la côte. Il fallut attendre les lexploration du Spitzberg fut reprise à lafois par le prince de Monaco, par le pro-fesseur suédois D Nathorst et par lAlle-mand Th. Lerner. Le prince, sur sony
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