Lettres edifiantes et curieuses ecrites des missions etrangeres parquelques missionnaires de la comp compagnie de Jesus . nen ont vuque lesconfins , et nont pu sentretenir avecles Nationaux que par signes , oupar Interprètes. Pour {l^?er ses idées sur ce que dît M. dôSonnerat de la Chine , et sur ce que lon doitpenser de cet Empire , nous rtnyo3ons autome LU [ dfiV Nisîoire unwerselle , traduitede lAnglais par une Société de Gens deLettres , imprimée à Paris ^ chez Montaj^î,rue dfs MaiJiurins. On y trouvera un excel-lent morceau sur la Chine. Les Auteurs ontlu tous les Ouvrages qui ont paru su


Lettres edifiantes et curieuses ecrites des missions etrangeres parquelques missionnaires de la comp compagnie de Jesus . nen ont vuque lesconfins , et nont pu sentretenir avecles Nationaux que par signes , oupar Interprètes. Pour {l^?er ses idées sur ce que dît M. dôSonnerat de la Chine , et sur ce que lon doitpenser de cet Empire , nous rtnyo3ons autome LU [ dfiV Nisîoire unwerselle , traduitede lAnglais par une Société de Gens deLettres , imprimée à Paris ^ chez Montaj^î,rue dfs MaiJiurins. On y trouvera un excel-lent morceau sur la Chine. Les Auteurs ontlu tous les Ouvrages qui ont paru sur cetteContrée ; ils pèsent, ils discutent, ils exa-minent \ et entraînés par la raison et lavérité , ils donnent presque toujours la pré-férence au témoignage de ceux qui y ont; G iv 56 PRÉFA CE. demeuré long-temps , et ont parcouru lesdifférentes Provinces de ce vaste verra aussi en même-temps que ces Au-teurs nont rien moins que de la partialitépour les Missionnaires, dont cependant ilsne dédaignent pas lautorité dans les pointsoù ils paraissent avoir la vérité pour eux». L E ï T R E S ÉDIFIANTES ET CURIEUSES, ÉC RITE SPAR DES MISSIONNAIRESDELA COMPAGNIE DE JÉSUS, LETTRE De M. VAbbé de Fleury* y à MonseigneurVLwégue de Métellopolis {Lanneau ), Mon SEIGNEUR Lusage que vous faites du Catécliismehistorique, me reud bien sensible cette vé-rité, que ce nest pas nous, à propreinentparler, qui agissons, ni qui pensons pourlutilité des autres , mais Dieu qui se sert denous comme de très-faibles instrumens, quinous donne telles pensées quil lui plait, et^jpplique aux fins sublimes do ^a sagesse ce * Vie. Ai-gst, (le Siuœ. G 5 58 Lettres ÉDIFIANTES que nous avons souvent connu par des vuesLasses et humaines. Au-lieu donc de me don-ner des louanges dautant plus dangereusespour moi , que jai plus de vénération pourvotre dignité , pour votre piété et vos autresvertus; au-lieu, dis-je, de ces complimensque nous devons laisser a


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