Annales de l'Institut Pasteur . Fig. 1. 578 ANNALES DE LINSTITUT PASTEUR lentonnoir E pendant le court instant nécessaire pour y verser, en prenanttoutes les précautions désirables, le contenu dun tube de semence pure. Unepartie de cette dernière vient se mélanger à la masse du liquide: une autrepartie, qui reste dans le tube intérieur E, est inutilisée. Ellr est mise borsde cause et sécoule par lentonnoir au moment où, après avoir porté lerobinet dans la position II, on place lappareil la tète en bas iiu. 2B) pourprocéder à la répartition en tubes. Au préalable, on agite énergiquementson cont


Annales de l'Institut Pasteur . Fig. 1. 578 ANNALES DE LINSTITUT PASTEUR lentonnoir E pendant le court instant nécessaire pour y verser, en prenanttoutes les précautions désirables, le contenu dun tube de semence pure. Unepartie de cette dernière vient se mélanger à la masse du liquide: une autrepartie, qui reste dans le tube intérieur E, est inutilisée. Ellr est mise borsde cause et sécoule par lentonnoir au moment où, après avoir porté lerobinet dans la position II, on place lappareil la tète en bas iiu. 2B) pourprocéder à la répartition en tubes. Au préalable, on agite énergiquementson contenu pour assurer une distribution bomogène de la semence. Lamaineuvre deinbouteillaue est alors extrêmement simple : quand on tournele robinet R de 180° pour lamener dans la position I, le liquide séeoule duballon dans la pipette /, dune contenance de 10 cent, cubes. Il la remplit et. Fii,. i. se déverse ensuite lentement par le tube (in e, fonctionnant comme trop-plein. Le liquide ainsi perdu saccumule dans le réservoir o qui peut êtrevidé de temps en temps au moyen du robinet r; celte perte est dailleurstrès minime, si lon prend soin, dès que la pipette P est pleine et que le trop-plein fonctionne, de tourner de nouveau le robinet R de 180°. ce qui permetlécoulement des 10 cent, cubes de liquide par le tube T. Ce liquide estrecueilli dans un tube à essai préalablement bouché à louate et stériliséau four Pasteur. Dans la préparation dune expérience, on commence parrépartir ainsi le milieu de culture normal dans les tubes qui serviront detémoins : connaissant le volume initial de la masse liquide mise dans le balloncl le nombre de tubes préparés, et ayant mesuré la minime quantité perduepar le trop-plein au cours de la manipulation, on sait quel est le volumerestant à lintérieur du ballon. On calcule alors combien il faut ajouter, à lamasse


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