L'illustration : journal universel . Patience : Seipion, montant les petites rues de lancienneville mauresque, non encore envahie par ses compatriotes,commence à rencontrer des Indigènes dont le;étonnent ses regards et charment son imagina! -;Cen est fait, sécrie Seipion, adieu Paris, adieu ma belleFraoce; ma patrie est ici. » Un Maure, qui le comprend,offre de lui vendre un esclave ; Seipion ne marchande pas ; ilsassure ment que celui-ci est bon teint. Puis il se fait habiller à la mode du pays, que les vêtements européens. Les tailleurs de PariB nepiers auprès des costumser;afti


L'illustration : journal universel . Patience : Seipion, montant les petites rues de lancienneville mauresque, non encore envahie par ses compatriotes,commence à rencontrer des Indigènes dont le;étonnent ses regards et charment son imagina! -;Cen est fait, sécrie Seipion, adieu Paris, adieu ma belleFraoce; ma patrie est ici. » Un Maure, qui le comprend,offre de lui vendre un esclave ; Seipion ne marchande pas ; ilsassure ment que celui-ci est bon teint. Puis il se fait habiller à la mode du pays, que les vêtements européens. Les tailleurs de PariB nepiers auprès des costumser;afticains; I. Et les perruquiers de la ru.* Vivn-nne île vrais Aussi M. S^pion parait-il enchanté L ? preivu pour m v ént tV \ . tondeurs de chiens, comparés aux perruquiers et son esclave fier de a >n maître. Ignorant la langue du p»ys, lui .1 Itesse la parole lassied sur le discoun de lAlgérie. en ces terne une pipe a It mule LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 269


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