. De l'art des devises . XLVIII. LE Laurier eft beau î mais fa beauté poureftre gaye, veut eftre dans vne terre culti-vée &: frudtueufe , qui le rejoiiifle par la mon-tre de Tes fruits II en eft,de mefme de la Poëfieide mefmc de la Valeur reprefenrées par le Lau-rier. Il n V à rien de plus tnfte, quelles, dans valieu que les Grâces ne cultivent point. Sff 5o5 DEVISES ^M ^B W/f&^^S^l^^m ■\ mmm BK t Hk ^mMmmà ^1 XLÎX. TOut excès eft incommode, dequoy quilfe faflTe, & en quelque Tu/ec quil foie. Lafercilitc mefme excefîîve eft à charge: & la tropgrande abondance des fruits , romp les brasdes arbr
. De l'art des devises . XLVIII. LE Laurier eft beau î mais fa beauté poureftre gaye, veut eftre dans vne terre culti-vée &: frudtueufe , qui le rejoiiifle par la mon-tre de Tes fruits II en eft,de mefme de la Poëfieide mefmc de la Valeur reprefenrées par le Lau-rier. Il n V à rien de plus tnfte, quelles, dans valieu que les Grâces ne cultivent point. Sff 5o5 DEVISES ^M ^B W/f&^^S^l^^m ■\ mmm BK t Hk ^mMmmà ^1 XLÎX. TOut excès eft incommode, dequoy quilfe faflTe, & en quelque Tu/ec quil foie. Lafercilitc mefme excefîîve eft à charge: & la tropgrande abondance des fruits , romp les brasdes arbres. Le Symbole eft beureufement ima-giné, pour reprefenter que le BiencelTe de/trcBien , quand il eft hors de mefure : & que lesFortunes modérées qui fe portent aifcment,font plus à fouhaiter , que les énormes quiaccablent. ADOPTEES. Î07. LE Proverbe de^ Anciens, qui pouf louerquelque chofe faite avec cfpric, difoientquelle fcntoit lhuile , ne fut jarftais dit plus àpropos y quil Te peut dire de cette Devife, doncle Mot tiré dOvide, &:atp>pliq!uc à vne Lampe,dont la lumière fe nourrit dhuile, ^eprefenrcvn homme fplend de en la profufion du Bien^quefon Père Marchand d huile luy a voit laifTé. Sff 5o8 DEVISES
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