. Le Monde moderne. end sur tout notre système agissent comme des stimulantsénergiques. Respires purs el en grande quantité,les parfums peuvent, à certain moment etsuivant la disposition dans laquelle nousnous trouvons, occasionner des troublesnerveux très graves, des maux de tête, .M B I c POUR r it É r A u E n les e s s e x c k s les essences pures ont une odeur désa-gréable, tandis quils émanent des sen-teurs fines et suaves à létat de dilutionextrême. On peut très bien se convaincrede cette vérité avec les essences de rose,de fleur doranger, de jasmin el biendautres. Dautre p


. Le Monde moderne. end sur tout notre système agissent comme des stimulantsénergiques. Respires purs el en grande quantité,les parfums peuvent, à certain moment etsuivant la disposition dans laquelle nousnous trouvons, occasionner des troublesnerveux très graves, des maux de tête, .M B I c POUR r it É r A u E n les e s s e x c k s les essences pures ont une odeur désa-gréable, tandis quils émanent des sen-teurs fines et suaves à létat de dilutionextrême. On peut très bien se convaincrede cette vérité avec les essences de rose,de fleur doranger, de jasmin el biendautres. Dautre part, les essences sont desantiseptiques énergiques, très utiles àemployer toutes les fois que lon a àredouter les atteintes dune affection in-fectieuse el contagieuse. Cest un pro-cédé simple et agréalile. Nous ne saurions donc trop recom-mander lusage judicieux et sans excèsdes parfums, parce quils sont salutaireset hygiéniques, autant quils sont agréa-bles et de bon goût. I !■ L- 1 s 1 I temps loin-tain où Privât crAn<,lenionl en dressala pittoresque nomenclature, la liste desmétiers ignorés sest aiif^nienlée dex-traordinaire façon, suixMnl en cela lamarche à pas gigantesques du proi;rès. lùitre tous les métiers nouveaux, trou-vant leur raison dêtre à Paris même, etnon ailleurs, il en est un qui ne peutcraindre en rien de déchoir, pai lexcel-lente, la superlative raison quil estexercé par un seul artisan, à labri detoute concurrence. (^e métier, cest celui de lniinni/ciirnllitrc h l:i iiniirriltirc des enpnrlirulivr de du Musciini lii|iicni(Mlde soupi,oinier, cachi ^ous la pnill\il(de ce litic, un vulgaire uiai-cliand delapins? Si dans les exliiliilions ldiaiues deliiias, plus (III moiii- consliiclors nuconslii(ti-ui>, voire luéine con^lrucleurs, loireainsi car on dit les trois : les mon-1 leurs de serpents nusent guèremême que du dernier


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