Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres) . ndinaves de nos poé-sies françaises. ?. P. Page 71, ligne 34. « Apulée a fourni le conte du Cuvier, fabliaux.« repris ensuite par Boccace, Morlino, La Fontaine. » LesNouvelles prétendues latines de Jérôme Morlino ou Morlini,Morlini Novellœ, fort mauvaises de tout point, mais utilescomme documents littéraires et historiques, offrent encoreune faible imitation, Nov. i3, des Trois aveugles de (o


Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres) . ndinaves de nos poé-sies françaises. ?. P. Page 71, ligne 34. « Apulée a fourni le conte du Cuvier, fabliaux.« repris ensuite par Boccace, Morlino, La Fontaine. » LesNouvelles prétendues latines de Jérôme Morlino ou Morlini,Morlini Novellœ, fort mauvaises de tout point, mais utilescomme documents littéraires et historiques, offrent encoreune faible imitation, Nov. i3, des Trois aveugles de (om-piègne; Nov. \o, des Braies du cordelier ; Nov. 78, de Cons-tant du Hamel et du Prêtre crucifié. Les contes que lotttrouve à la fois dans Morlino et dans Straparole, Na|jolitaincomme lui, étaient probablement plus anciens que tous lesdeux. V. L. G. Page 73 , ligne 33. « Cest ainsi que Cervantes lui-même,« dans son Voyage au Parnasse, compose des meilleurs gen-a res de poésie, élégies, chansons, drames, son navire fan-« tastique. » Viage del Parnaso, capitulo primero : De la quilla à la gavia (; à extrana cosa.)Toda de versos era fabricada, Tome XXIIL Nnnnn XIII SIÈ 834 ADDITIONS Sin que se entremetiese a/gunn Era la chusina de romances toda,Gente atrevida^ empero à lodas acciones se Hecha ser la crugia se me muestraDe uria luenga y tristisima elegia,Que no en cantar, sino en llorar es diestra. . El ârbol hasta al cielo levant adoDe una dura caneton prolixa estaba,De canto de sels dedos embreado, etc. On peut voir ailleurs dans ce volume, page 683, le chan-sonnier Pierre de Gand, rpie nous connaissons par le ma-nuscrit 389 de Berne, un des j)lus anciens recueils de chan-sons françaises, comparer son amour à une prison, dont il seplaît à décrire, avec les mêmes images que dans le romande la Rose, les piliers, les chaînes, les portes et le geô chansons du roi de Navarre, dans ([uehpies ver


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